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une fugue, une rencontre [Pv : Karot]

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Aria Zanelli

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Aria Zanelli

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MessageSujet: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyMar 15 Nov - 22:28

Une fugue, une rencontre


Ce n'était pas une journée des plus ensoleillé, on pouvait même dire que le temps était plutôt couvert, mais il faisait particulièrement bon, un vrai temps à rester dehors à profiter des brises régulières. Cela tombait à point nommé puisque la jeune fille venait d'être mise à la porte de son foyer d'accueil et de son lycée, personne ne savait où la placer, et la police devait alors venir la chercher pour la placer ailleurs. Comme elle n'avait accumulé aucune affaire depuis qu'elle avait été placer dans ce foyer, elle se retrouvait avec juste un simple sac à dos remplit de quelques vêtements et friandises, on pouvait même y trouver de l'herbe illicite qu'un des autres résidents lui avait donner pour son départ. Tous ceux qui faisaient partie de sa bande ou qui l'admiraient, pleuraient son départ, en revanche les autres en sauté de joie, surtout ceux qui la jalousaient ou la craignaient. Vers le milieu de la mâtiné Nana avait terminer de se préparer, prenant le temps de prendre une douche et de bien ranger son sac. Elle se retrouva alors devant le foyer à attendre la venue du véhicule de la police, assise sur les marches du bâtiment, elle à réfléchir. Qu'est ce qu'elle allait faire une fois dans ce foyer pour jeune délinquant ? Elle qui déjà ne connaissait rien au monde extérieur on voulait la déplacer dans le nord, dans une petite ville de campagne où elle n'aurait plus aucun repaire, ni même la possibilité de reformer un gang. Toutes ses pensées la rendaient triste, mais surtout elle réalisa qu'elle serait loin de sa maison, enfin du Mugenjô et donc en définitive, elle serait loin de son plus cher ami Pluto. À cette réalisation elle prit peur, se redressant d'un coup en fixant l'horizon avec la peur au ventre de voir débarquer la voiture de fonction.

Pesant rapidement le pour et le contre, oubliant la peur qui lui broyait le ventre elle s'enfuit. L'idée d'être loin de Pluto, de se retrouver dans un endroit qu'elle connaissait encore moins qu'une ville urbaine l'effrayait au plus haut point. Jamais elle ne pourrait s'en sortir dans un endroit pareille, sans pouvoir se dire qu'en cas de grand danger elle pourrait aller voir son ami, alors à quoi bon y aller ? Se retrouvant alors en plein cœur de Shinjukû à errer dans les rues sombres, elle cherchait ce qu'elle allait bien pouvoir faire. Retourner tout de suite au Mugenjô lui faisait peur, elle savait à quel point c'était difficile de retourner là bas en particulier chez elle, dans la zone centrale. Si par chance Nana arrivait à survivre aux monstres de la zone basse, elle ne survivrait pas à ceux de Belt Line, c'était des monstres sortit tout droit de l'enfer. Bien évidemment elle n'était pas au courant que de nouveau Volt avait vu le jour dans la zone inférieur et qu'il y faisait régner l'ordre tant bien que mal. Surtout qu'elle avait un important point commun avec le nouveau chef des Volt, MakubeX ; se connecter aux archives du Mugenjô, se qui faisait d'elle un allier aussi précieux que dangereux. Tout dépendait si elle voulait se joindre à eux, où au château de l'infini. Marchant dans diverses ruelles, elle se renseigna auprès de personnes qu'elle connaissait, dealer ou ancien chef de gang rival pour se trouver un logement pour la nuit, car ne pouvant retourner au château, elle ne se voyait pas plus que ça de passer la nuit sous un pont. Un petit malfrat lui donna alors l'adresse de son ancien lieu de squatte qui était aujourd'hui vide, lui évitant ainsi tout problème.

Après avoir noté l'adresse sur un bout de papier et mit dans sa poche, elle se dirigea vers un petit coin tranquille, sur la place d'une veille église abandonné où elle se posa sur les marches de celle-ci. Son ventre commençait à gargouiller, lui signifiant que c'était l'heure de manger, elle se roula alors un joint pour ne plus y penser et économiser ses réserves. Sans le moindre sous en poche, elle ne risquerait pas de survivre bien longtemps, mais puisqu'elle était désormais considéré comme fugueuse, elle ne pouvait pas se permettre de se faire repérer en commettant quelque délit mineur pour se mettre quelque chose sous la dent. Heureusement que le lieu où elle se trouvait était vide et tranquille, la police n'y passait donc jamais, donc aucun risque pour elle de se faire retrouver et arrêter pour consommation de stupéfiant en public. Elle s'allongea tout en continuant de fumer, regardant le ciel et ses nuages qui le peuplaient, se demandant si quelque chose d'intéressant aller arriver où si elle devait se rendre à l'adresse qu'on lui avait donner tout de suite pour y rester caché. Il faudrait aussi qu'elle pense à une stratégie pour montrer jusqu'à Belt Line rejoindre Pluto, mais si même les plus grands des bas fonds du Mugenjô n'avaient pas réussit à y aller, comment est qu'elle elle pourrait ? Seul le temps le dirait, il était encore trop tôt pour le dire maintenant surtout que son joint n'était consumé qu'à la moitié de sa vie ...
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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyMer 16 Nov - 19:08

Première Récupération.


Karot était désormais prêt à devenir un récupérateur, mais il savait que ce n'était pas aussi simple que cela, on ne devenait pas récupérateur comme ça du jour au lendemain... Enfin, si, on pouvait y parvenir mais il était inutile de nier qu'il fallait tout de même avoir quelques contacts ou encore... Être astucieux quitte à perdre quelques petites choses et c'était la solution que le jeune homme pensait être la meilleure pour lui, pour diverses raisons qui seraient plutôt longues à expliquer et qui ne vous intéresseraient sans doute que très peu en définitif. De plus, il ne savait pas encore si l'astuce qu'il voulait mettre en place et qui, je vous rassure, ne constituait en rien une arnaque, allait marcher. Il ne pouvait pas prévoir le futur même si cela aurait eu quelques avantages non négligeables quoi que... Connaître le futur n'avait pas forcément que du bon, on pouvait voir des choses désespérantes, on avait plus aucune surprise et il ne servait plus vraiment à grand chose de vivre dans ces cas-là surtout que... Le destin ou futur comme vous préférez, pouvait être modifié par les êtres vivants par différents moyens, les actes de chacun avaient une influence sur le futur et ce dernier était loin d'être quelque chose d'immuable et de prédestiné comme certains le pensaient... Enfin, Karot ne critiquait pas cette croyance hein, il croyait juste quelque chose de différent.

Bon alors, pour le moment il se trouvait dans les rues de Shinjuku mais il se rendit compte qu'il n'arriverait jamais à rien en faisant cela. Comment trouver du travail en plein centre de Shinjuku ? Surtout un tel travail qui n'était pas vraiment si commun, il fallait soit avoir beaucoup de chance, soit connaître des gens et... Le jeune homme ne connaissait pas grand monde dans la ville alors... Il se dit qu'il allait tenter le tout pour le tout et compter sur une chance et un instinct qui ne l'avaient jamais trahi, quoi que la chance n'avait pas forcément toujours été de son côté en définitif, tout dépendait de tellement de choses mais bon... Il n'avait jamais cherché à comprendre pourquoi la chance tournait ainsi, pour lui c'était quelque chose de parfaitement normal qui s'appliquait à tous les êtres humains, bah oui... On ne pouvait pas posséder la chance éternellement, elle finissait toujours pas tourner sans pour autant devenir de la malchance... Juste que ce n'était plus de la chance et qu'il fallait ensuite de réelles compétences pour continuer à entreprendre ce que cette chance nous avait permis d'entreprendre. Pour le jeune homme, il avait décidé de compter sur sa chance comme vous l'avez compris mais il savait aussi que sa capacité à tisser de forts liens sociaux rapidement lui permettrait d'assumer si la chance venait à le quitter pour une raison ou une autre.

Ce fut au détour d'une rue que la chance lui sourit dans un certain sens, une jeune femme qui s'était apparemment fait dérober un objet de grande valeur pour elle, autant sentimentale que financière en définitif, un pendentif en or apparemment... Karot lui proposa son aide en tant que récupérateur mais sans lui demander de payement pour le moment, c'était un peu son astuce techniquement, elle lui décrivit alors les agresseurs et ce fut en se renseignant un long moment que le jeune Karot apprit où et quand le gang se réunissait la plupart du temps, il pouvait donc se diriger vers l'endroit en question... Heureusement que sa chance lui souriait grandement aujourd'hui parce qu'il savait qu'on pouvait chercher des renseignements longtemps sans en trouver dans les grandes villes, surtout que la plupart des personnes avaient peur de parler de ce qui concernait les gangs et autres groupes dangereux. Bref, il fallait donc maintenant qu'il aille sur le lieu de rendez-vous si on pouvait dire cela ainsi et qu'il les attende pour leur apprendre les bonnes manières. Il arriva donc sur les lieux d'une église, elle était vieille et abandonnée et le jeune homme comprit instantanément pourquoi elle était le repère de ces délinquants. Karot monta sur le toit de l'église très rapidement et alors que cela faisait quelques minutes qu'il était en haut, une jeune demoiselle arriva et fit diverses choses très peu catholiques je dirais... Cependant, elle n'avait pas l'air de faire partie du gang recherché par le jeune homme, il devait tout de même vérifier. Il sauta donc du toit et atterrit en douceur devant la jeune demoiselle, il souriait comme toujours tout en la regardant.


"Bonjour, je suis Karot Ryuu. Excuses-moi de te déranger mais tu ne devrais pas rester ici... Un gang arrive et mon travail fait que je vais devoir les forcer à me rendre quelque chose. Je n'aimerais pas que tu sois pris dans la bataille même si tu demeures libre de tes choix en définitif."
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Aria Zanelli

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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyMer 16 Nov - 21:43

Une fugue, une rencontre


Ce qu'il y avait de bien avec l'herbe, c'est qu'elle vous faisait rapidement planer selon la dose que vous mettez. Vous vous sentez détendu rapidement, comme si vous étiez un nuage bercer par le vent, mais votre esprit bascule vite dans un ouragan et vous n'avez plus aucun contrôle de vous même tant votre esprit semble secouer dans tous les sens, même un bateau en pleine tempête au milieu de l'océan à moins de secousse. Mais justement, entre le faite que vous vous sentiez magnifiquement bien avant de plonger en bad tripe total où vous avez l'impression que vos âmes quitte votre corps et que vous avez donc l'impression que vous êtes entrain de mourir, vous n'avez pas le temps de penser à quoique se soit de logique, et même si vous avez l'impression que vous avez toute votre lucidité ce n'est qu'une illusion car la réalité est toute autre. Enfin même si cette activité à une partie de plaisir qu'on ne peut nier, cela peut vite s'avérer dangereux, mais ce qu'il y a de plus vicieux dans cet acte c'est la dépendance qu'il provoque sur le long terme, vous retirant ainsi tout contrôle, de votre corps, mais au final de votre esprit également. Une vrai poupée docile et facilement manipulable en somme. Mais la jeune fille qu'était Nana n'en avait strictement rien à faire de tout cela, elle voulait juste oublier son stresse d'avoir fugué et sa peur de retourner au Mugenjô. Quel enfant qui a été torturé durant son enfance se préoccupe des effets négatifs de la drogue ? Aucun, pour eux cela n'était rien en comparaison de ce qu'il avait vécu au contraire, c'était presque une délivrance pour eux de pouvoir oublier leur passé. C'était donc son cas, qu'est ce qu'elle en avait à faire de devenir accroc et de perdre la tête pour quelque minute de bonheur ? Absolument rien, son corps avait été maltraité durant une partie de sa petite enfance, il avait été transpercer par des câbles XLR et des prises Jack ou même des prises éclectiques, avec tous les produits chimiques qui avaient touché son organisme de l'intérieur, elle n'était plus à ça près en fumant un joint qui lui était au moins de l'herbe naturelle et non un produit chimique inconnue et encore plus dangereux. Et puis de toute façon le danger de la drogue n'était rien en comparaison du danger de vivre dans le Mugenjô.

Pendant qu'elle fumait tout en regardant le ciel tout en étant allongé sur les marches de l'église, elle ne cessait de penser à son ami Pluto, s'il n'était pas trop triste d'être tout seul, s'il serait content de la retrouver … à aucun moment elle n'avait envisager la possibilité qu'il ait été détruit ou bien soit tout simplement tomber en panne, car c'était quand même un ordinateur. Non pour elle il était bel et bien vivant et même s'il se trouvait dans la zone la plus dangereuse du Mugenjô, elle était sûr qu'il savait comment s'en sortir, après tout il avait été fabriquer par Sahad, un habitant de Belt Line et qui avait participé à la création du château. En même temps aurait-elle réussit à survivre dans un monde inconnue si elle n'avait plus l'espoir de pouvoir retrouver son ami si elle venait à être en danger ? Non, elle était bien trop fragile pour cela, surtout que Pluto était la seule chose qui lui restait car des monstres lui avaient tout retirer dans une gigantesque marre de sang et de hurlement. Il lui restait quelque amis dans Shinjukû, mais maintenant qu'elle était considéré comme une délinquante à part entière, les parents de ses amis leur interdisait de la voir, elle qui était une paria venu du château misérable.

Se perdant petit à petit dans ses pensées entrainé par les effets de la drogue, une ombre vient lui couvrir la vue, ce qui eut pour effet de la perturber et de la sortir directement de ses pensées pour s'intéresser à ce changement visuel, car le temps étant de base couvert, il n'y avait aucune raison à ce que les nuages dans le ciel apporte plus d'ombre. Là elle vit qu'un garçon assez jeune c'était posté à côté d'elle et qu'il lui parler. Bien sûr elle entendait ce qu'il disait, mais le temps qu'elle comprenne était plutôt long, un des effets indésirable de l'herbe, le temps vous semble ralentit, ainsi alors qu'il avait finit sa phrase, pour elle, il venait de la commencer. Elle se redressa alors et le regarda avec de grand yeux dubitatif pendant que son cerveau essayer de déchiffrer ce qu'il venait de lui dire pour qu'elle puisse enfin lui répondre avec un grand sourire.

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Hein ?! Euh oui … Pourquoi tu dois les forcer à te rendre quelque chose il te l'on volé ? Par contre je peux pas trop bouger d'ici, mais j'ai pas peur du danger.
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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyMer 16 Nov - 22:20

Combat à l’Église Abandonnée.


La première chose que le jeune homme qu'était Karot remarqua, c'était que la jeune demoiselle qu'était celle qu'il venait de rencontrer fumait de l'herbe, autrement dit de la drogue, vous savez ces merdes qui permettaient à ceux qui en consommaient de se sentir dans un état second extrêmement bon pour très peu de temps par rapport aux effets néfastes que celles-ci pouvaient entraîner. La deuxième chose qu'il put remarquer fut qu'elle semblait plus jeune que lui pour diverses raisons, mais il était aussi possible qu'il se trompe, après tout personne n'était à l'abri de faire des erreurs, c'était humain et ça permettait souvent d'avancer bien que ce ne soit pas quelque chose de nécessaire en définitif. Qu'est-ce qu'une jeune adolescente pouvait bien faire en ces lieux, n'avait-elle personne qui s'occupait d'elle ? Enfin bref, il verrait bien ce qu'il en était lorsqu'il serait temps, ce qui n'était pas le cas pour le moment. Il remarqua aussi quelques détails physiques chez elle, plus ou moins étonnant selon celui auquel on s'intéressait mais bon... C'était une jeune femme blonde, tout ce qu'il y a de plus normal me direz-vous et je vous dirais alors que vous avez raison, elle était de taille moyenne ce qui était aussi parfaitement normal mais... Ses yeux étaient violets et ça, c'était plutôt étonnant, ça plaisait bien à Karot d'ailleurs.

Karot put remarquer que son arrivée avait fait sortir la jeune demoiselle encore inconnue de ses pensées, il savait d'ores et déjà que les effets de la drogue pouvaient être divers, et que le ralentissement de la compréhension pouvait faire partie des effets en question, il ne savait pas encore si c'était le cas pour cette dernière mais il était sûr d'une chose, elle était en train de planer comme diraient certains. Bon, d'après les yeux de la jeune demoiselle lorsque Karot venait de terminer sa phrase, il comprit que l'effet évoqué précédemment était bel et bien présent chez l'adolescente qui était en face de lui, il était donc normal qu'elle mette un peu de temps pour lui répondre puisqu'elle mettait un peu de temps pour entendre, comprendre, analyser et répondre, ce n'était aucunement une quelconque marque de reproches, juste des constatations je tenais à le préciser. Elle finit alors par parler et lui demanda pourquoi il devait les forcer à lui rendre quelque chose, demandant si il s'était fait volé et elle lui dit aussi qu'elle n'avait pas vraiment la possibilité de bouger d'ici mais qu'elle n'avait pas peur du danger en gros. Comme il lui avait de toute façon dit, la décision finale lui revenait à elle et pas à lui, il lui avait conseillé quelque chose mais elle faisait ce qu'elle voulait de ce conseil, peut-être ne lui servait-il à rien.


"Non ils ne m'ont rien volé, je suis récupérateur, je récupère les objets perdus ou volés de divers clients et là. Une jeune femme s'est fait voler un objet très important pour elle par le gang qui va arriver et je dois le récupérer. Tiens, quand on parle des loups."

Et oui, car ils étaient enfin arrivés sur le lieu de leur propre rendez-vous quasiment journalier et il fallait avouer qu'ils étaient plutôt étonnés de voir que certaines personnes se trouvaient sur ce qu'ils qualifiaient de leur territoire. Karot voulu alors s'expliquer avec eux à l'amiable en leur demandant de lui rendre le pendentif qu'ils avaient volé sans faire d'histoires mais bon... Il ne savait pas vraiment pourquoi mais ceux-ci refusèrent et en plus se braquèrent d'un coup voulant lui exploser la tête pour citer leurs propres mots. Apparemment, Karot n'avait pas vraiment le choix, il allait devoir se battre et il ne voulait pas perdre son temps... Ils avaient des petits couteaux sur eux mais rien de très dangereux pour lui, au pire il avait ses deux Katanas bien dissimulés quelque part sur lui. Mais bon, le Ryuu No Budo suffit à les mettre tous hors d'état de nuire très vite... Ils avaient beau être prétentieux et tout cela mais, à part s'attaquer à une femme, ce n'étaient que des bons à rien. Le jeune Karot chercha alors le pendentif parmi tous les corps encore vivants et pas abîmés de ceux qui l'avaient défié alors qu'il les avait abordé avec gentillesse et finit par le trouver dans une des poches de celui qui prétendait être le chef. Karot revint alors vers la jeune fille avec un sourire et en la regardant toujours, tout avait duré moins d'une minute pour jouer vraiment largement, il n'aimait pas faire attendre les gens, surtout lorsqu'il avait envie de faire connaissance avec les personnes en question.

"Désolé pour tout ça, voilà ce que je voulais pour ma cliente. Tu t'appelles comment toi ? Pourquoi tu ne peux pas bouger d'ici ?"
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Aria Zanelli

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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyMer 16 Nov - 23:23

Une fugue, une rencontre


Nana n'était pas à proprement parler une drogué, ce n'était certes pas la première fois qu'elle prenait de l'herbe et elle avait même déjà toucher à des choses plus dure lorsqu'elle était au Mugenjô car ça circulait tellement facilement que n'importe qui pouvait s'en procurer sans pour autant savoir ce que c'est. C'est comme ça qu'elle et ses amis en avaient eut plus jeune et qu'ils y avaient goûté par pur curiosité. Elle n'en était pas spécialement friande et n'en prenait qu'occasionnellement, généralement pour des évènements important, et on peut dire que son départ était quelque chose d'important puisqu'il c'était finalisé par une fugue. Se calmer les nerfs avec un peu d'herbe était donc totalement normal pour une gamine de la rue.

Elle avait effectivement les cheveux blonds, normal puisqu'elle n'était pas japonaises à 100% mais bel et bien métisse. Et pas de n'importe quel métissage, on pouvait même dire un métissage maudit, puisque cette couleur de cheveux venait de son paternel, un riche business man Russe qui avait massacrer par pure sadisme sa mère après l'avoir violer. Sa couleur de cheveux était donc venue d'un acte ignoble et on pouvait même dire que depuis ils n'attiraient que le malheur, entre sa naissance, son enfance et le passage à tabac qu'on lui avait fait à cause de sa couleur rarissime au Japon puisqu'elle était réserver où aux étrangers, ou aux personnes excentrique qui se décoloraient le cuir chevelu. C'est vrai qu'elle n'avait encore jamais rencontrer de personne blonde depuis qu'elle était sortie du Mugenjô, et encore moins de personne aux yeux violets. Enfin ces yeux étaient une particularité venant du château et de ses nombreux mystères, notamment du fait qu'elle était née d'une morte, peut être que le cadavre de sa mère lui avait transmit une couleur étrange à ses iris ? Enfaite personne ne le savait, mais c'était surement la raison, car cela ne pouvait pas être du aux produits chimiques auxquels elle avait été exposé ou encore de son stigmate qui apparaissait lorsqu'elle était au Mugenjô et qui défigurait son œil d'une croix, puisque sa couleur des yeux dataient de bien avant.

Pourtant le jeune garçon qui venait de la sortir de ses songes et qui s'appelait Karot avait également les cheveux blonds, son esprit embrouiller par les effets de l'herbe avait d'ailleurs bloquer dessus un moment pendant qu'elle le regardait dubitatif avant de trouver quelque chose à lui répondre. Elle ne se rendait bien sûr pas compte qu'elle mettait du temps à comprendre ce qu'il disait ou qu'elle avait mit un certain temps à lui répondre, la drogue avait pour effet de retirer toute notion du temps quel qu'elle soit. Mais il avait aussi pour effet de retirer toute logique, ou plus exactement de changer la notion de logique, ainsi ce qui était logique pouvait devenir illogique et inversement, pas trop dure à comprendre ? Du coup ce qu'il venait de lui dire, avait du mal à être comprit par la jeune fille. Pourtant récupérer un objet volé à ceux qui l'avaient justement volé était une chose normal, mais elle avait quand même du mal à bien comprendre le concept, faut dire aussi qu'elle a passer à vie à voler des objets aux autres pour survivre, alors se dire que maintenant il y avait des personnes qui empêchaient ce genre de larcin était pas évident à réaliser, surtout que c'était pas à lui qu'on l'avait voler, donc ce n'était pas son objet.

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Un récupérateur ? …


Elle bloquait véritablement sur ce concept qui réduisait tout son mode de vie à néant, mais elle n'avait pas le temps de se pencher plus que ça sur la question puisque le groupe de voleur venaient d'arriver sur les lieux où ils se trouvaient. Elle les regarda dépiter, c'est pas avec se genre de mauvaise personne dans les parages que le coins va continuer de passer pour un lieux calme où la police ne vient jamais. Vraiment ça ne l'arranger pas du tout, ce n'est pas qu'elle venait souvent ici, mais elle y allait assez régulièrement pour apprécier l'endroit. Étant trop ralentit pour ne pas dire mole à cause de ce qu'elle venait de fumer, elle resta assisse sur les marches à regarder Karot partir vers le gang pour tenter une approche à l'amiable, autant dire que c'était perdu d'avance, les gangs de rue ne se montraient rarement compatissant et obéissaient encore moins à des demandes de personnes qu'ils ne connaissaient pas. Elle regarda alors la scène en baillant, car la drogue vous ralentissez tellement que vous arrivez au stade où la fatigue vous rattrape plus vite que le temps en vitesse normal. Bien que la scène sous ses yeux n'avaient pas durée longtemps elle était incapable de s'en rendre compte et fut surprise de le voir revenir si vite devant elle avec un grand sourire. Lui jetant alors un regard étonné durant un petit moment elle lui adressa un sourire pour répondre au sien.

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Moi c'est Nana Abaraï ! Pour le moment je peux pas trop me balader par tout car normalement la police devait devenir me chercher au foyer mais je me suis enfuit, donc ils me recherchent Et comme les policiers ne viennent jamais ici j'y reste jusqu'à la tomber de la nuit.
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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyJeu 17 Nov - 14:44

Je vais t'aider.


Une chose était sûre, cette bande d'imbéciles de voleurs d'un gang de pacotille qui ne pouvait même pas réellement être qualifié de gang mais plutôt d'association de malfaiteurs... Non mais franchement, un simple gang qui osait défier un Yakuza, c'était le monde à l'envers vous ne pensez pas ? Enfin bref, étant donné qu'il était rare que le jeune homme informe tout le monde de son état de Yakuza, c'était un peu normal qu'ils ne soient pas au courant de cela, et ça valait d'ailleurs peut-être même mieux dans un certain sens. Ce n'était pas qu'il dénigrait le fait d'être d'un Yakuza et donc le digne et fier successeur de sa famille de Samouraïs, juste qu'il préférait seulement confier cela à certaines personnes qu'il sélectionnait lui-même. Il faisait souvent ses sélections à l'instinct de toute façon, oubliez le facteur de la chance qui n'avait dorénavant plus rien à voir avec la situation, seul l'instinct de Karot pouvait le conseiller sur la façon d'agir, cela pouvait d'ailleurs paraître très primitif mais c'était l'une des seules choses sur laquelle il avait une totale confiance parmi ses propres facultés, avec son entraînement et les enseignements de sa famille bien entendu, entre autres évidemment. Enfin bref, maintenant que cela était fait, il fallait passer à quelque chose de plus intéressant, quelle chose vous dîtes ? Eh bien...

Peut-être faire connaissance avec la jeune demoiselle qui était en face de lui, peut-être qu'elle était une délinquante mais ce n'était pas forcément de sa faute voyez-vous ? On ne choisissait pas forcément son mode de vie, surtout à un âge aussi peu avancé. Même si le mode de vie qu'elle était en train de suivre n'était pas le meilleur, peut-être était-ce le seul auquel elle pouvait accéder si vous préférez que je vous dise les choses autrement. Si vous voulez tout savoir, le jeune homme était triste quand il voyait les ravages que pouvaient provoquer les drogues quelles qu'elles soient, il y avait les médicaments, le tabac, l'alcool, les drogues dures, les drogues naturelles et j'en passe n'étant pas vraiment un excellent connaisseur mais il y avait tout de même de quoi être attristé non ? Surtout quand cela touchait des personnes qui comptaient pour vous mais bref. Pour le jeune Karot, c'était plutôt simple, à partir du moment où il y avait dépendance, il y avait en quelque sorte drogue... Même l'amour était une drogue d'après ce que Karot en avait compris mais je dois vous avouer que c'était un concept qu'il n'avait pas complètement compris. Il savait qu'il ne pourrait le comprendre qu'après l'avoir lui-même vécu. Autant être sincère, il espérait tomber sur la bonne personne du premier coup mais techniquement... Ce n'était pas vraiment à l'ordre du jour l'amour de toute façon.

En effet, le blond était une couleur de cheveux plutôt étrange au Japon, souvent le résultat d'une décoloration ou d'un métissage c'était une couleur qui était loin d'être appréciée par certains extrémistes japonais, surtout par les adolescents qui avaient la fâcheuse tendance d'être très cruels les uns envers les autres, si le jeune homme n'avait jamais eu de problèmes, c'était parce qu'il avait toujours vécu avec des adultes premièrement, et qu'il était des plus imposant en seconde partie. Peu de personnes osaient lui chercher problème car, malgré son sourire, on pouvait voir qu'il n'était pas le genre d'hommes à fuir ou à refuser l'affrontement, à part quand celui-ci était stupide. Et puis, ses cheveux étaient certes blonds mais ils n'étaient pas comme les autres dans un certain sens car ils possédaient des reflets dorés et même si cela ne changeait rien au fait que le jeune soit blond, c'était un élément physique qui avait tout de même son importance. De ce qu'il savait, il était l'un des rares de sa famille à avoir des cheveux blonds, c'était sûrement l'arrivée dans la famille de sa mère qui était tout aussi blonde qui avait dû être à l'origine de cela. Elle était pourtant 100% japonaise mais il devait avouer qu'il ne connaissait pas grand chose du passé de sa mère... En tout cas, une chose était sûre, la demoiselle en face de lui ne savait pas ce qu'était exactement un récupérateur, voire pas du tout.

Maintenant qu'il y pensait un peu plus, la jeune demoiselle qui semblait être une délinquante sans l'avoir vraiment désiré était sûrement une personne qui avait dû voler pour survivre, il était d'autant plus de cela quand elle lui dit qu'elle était recherchée par la police et qu'ils étaient censés venir la chercher dans son foyer, sans doute pour l'emmener quelque part mais qu'elle avait fugué. Premièrement, si elle était dans un foyer, cela signifiait qu'elle ne devait plus avoir de famille, ou en tout cas que personne de cette dernière n'avait pu s'occuper de la jeune fille qui se nommait Nana Abaraï, de plus si il était nécessaire qu'elle passe d'un foyer à un autre et qu'elle avait préféré fugué, et qu'en plus elle fumait actuellement une chose assez illicite et qu'en plus elle n'avait pas peur de la violence... Il était assez facile de comprendre la situation dans laquelle se trouvait la jeune Nana, Karot détestait voir des personnes dans ces situations, surtout lorsque ces mêmes personnes n'avaient, en définitif, rien demandé à personne. Autre chose, elle semblait ne pas avoir réellement réalisé la scène qui venait de se dérouler sous ses yeux, peut-être n'avait-elle même pas vu que Karot s'était occupé de tous ces hommes ? Enfin, c'était normal vu ce qu'elle avait consommé, aussi son regard étonné ne surprit pas Karot qui la regarda avec un sourire encore une fois.


"Enchanté Nana. Ah je vois... Et pourquoi as-tu fugué ? Je ne me vois pas vraiment te laisser rester seule dans un tel endroit aussi débrouillarde sois-tu... Enfin, n'aies crainte je ne vais pas te livrer à la police ni quoi que ce soit du genre. Je pense juste que je peux t'aider, si tu le veux bien entendu."
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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyJeu 17 Nov - 22:17

Une fugue, une rencontre


Nana ne se rendait pas vraiment compte de la puissance des gangs, encore moins dans son état totalement ralentit et embrouillé comme si son sang avait ingurgité un trop plein d'alcool. En plus elle était loin de se douter que le garçon qu'elle avait devant les yeux étaient un fils de Yakuza, faut dire qu'on les distingué difficilement lorsqu'ils ne portaient pas leur costard traditionnel pour camouflé leur tatouage. Ça l'avait d'ailleurs surprise que dans l'extérieur du Mugenjô il y avait des lieux public interdit aux Yakuza avec un petit panneau comme pour celui d'interdit de fumer ou interdit aux chiens, c'était la première fois qu'elle en voyait. Comme dans le Mugenjô la présence de mafieux était quelque chose de normal et de banalisé, elle pensait naïvement que dans le reste du Japon et du monde c'était pareille. Vraiment c'était perturbant à quel point tout était différent selon l'endroit et les mœurs où vous vivez, surtout lorsque vous pensez que c'est partout pareille et que lorsque vous sortez de votre monde habituelle, vous vous retrouvez sans le moindre repère, un peu comme si vous passiez d'une vie entière dans un monde urbanisé et que du jour au lendemain vous vous retrouvez en plein jungle amazonienne parce que votre avions censé vous conduire à une importante réunion c'est crashé.

Le mode de vie de chaque individus était différent les uns des autres, c'est bien cela qui créer la diversité du monde et le rendait moins monotone après tout, bien que certain mode de vie était plus que déplorable et devrait être éradiqué de la surface de la terre. Mais la vrai différence était que certain choisissait leur mode de vie, d'autre n'avait pas vraiment le choix, on a beau dire à tout va qu'on a toujours le choix, ceux qui vivent dans la misère savent à quel point se discourt ne peut être prononcé que par des êtres riches et influant qui n'ont jamais connus la faim et la peur de fermer les yeux par crainte de se faire égorgé aux moindres baissement de garde. Ainsi donc le mode de vie de Nana était le fruit de la misère de la société, particulièrement du château de l'infini. Obliger de fuir, se battre, mener une vie déplorable pour tenter de survivre dans un monde violent et vicieux où faire confiance à quelque est presque prendre le risque de se condamner à mort. Pas vraiment joyeux pour une enfant, mais elle ne connaissait que celui-là, c'était normal pour elle, tout était d'un grand naturel, même voir des gens mourir assassiné sauvagement. Sa vision du monde était déformer à tout jamais, d'une manière irréversible, après tout on dit que tout ce que retient le cerveau d'un bambin et d'un jeune enfant formerait l'être qu'il serait plus tard, autant dire qu'en naissance dans le Mugenjô elle était bien mal partie.

Le problème principale avec le Japon était que c'était l'un des pays les plus racistes au monde, bien sûr en concurrent direct il y avait l'Italie et les États-Unis, mais le Japon restait de loin en tête, il n'aimait les autres pays que lorsqu'ils trafiquaient de la drogue, pas pour rien que la Hollande était le seul pays durant le temps des samouraïs à pouvoir mettre les pays au pays du soleil levant. Ah la drogue toujours la drogue, à croire que cela était la seule chose qui ait véritablement de la valeur dans se monde et qui le fasse tourner, remarquez ce n'est pas si faux … les religions par exemples, elles viennent d'un allumée qui avait un peu trop consommer des substances illicites et qui s'est mit à délirer, et le peuple, en bon mouton crédule et sans la moindre culture suivirent les dires du gourous qui pouvait les manipuler alors à sa guise. Mais là n'est pas la question, car le racisme Japonais faisait que la jeune fille avait subit beaucoup de brimade de ses camarades, chose dont elle ne s'attendait absolument pas puisque dans le château la couleur de cheveux était quelque chose qui n'avait aucune importance, il est même certain que quelqu'un avec les cheveux verts ne choquerait absolument personnes. Mais ce qui était sûr c'était que voir enfin quelqu'un avec cette couleur de cheveux hors du château était un peu un soulagement, même si étrangement il n'avait aucune caractéristique d'un métisse, peut être une maladie de naissance ?

Il est indéniable que la jeune fille n'était pas une délinquante, ses petits délits étaient juste des actes désespérer pour sa propre survie, en aucun cas c'était pour nuire à autrui, surtout qu'elle était d'une grande douceur, ce n'était donc pas dans sa nature d'être une criminel. Elle n'avait même pas l'impression de faire quelque chose de mal lorsqu'elle commettait un larcin, c'était normal, elle était tellement désabuser qu'elle n'avait aucune notion de bien où de mal, de bonheur ou de danger, c'en était triste, mais on n'y pouvait rien, c'était le milieu dans lequel elle vivait qui voulait qu'on devienne aussi insensible au malheur. Mais à cause de ça les enfants du Mugenjô finissait par devenir de plus en plus violent en grandissant, parfois même ils devenaient aussi ignoble et violent que les monstres qui les avaient persécuté durant leur enfance. Karot lui ne semblait pas venir du même milieu, en même temps s'il avait grandit au château elle l'aurait croiser depuis le temps. Il avait l'air gentil, bien qu'il soit trop tôt pour dire si elle pouvait oui ou non lui faire confiance, il lui proposait de l'aider, bien qu'elle ne voyait pas en quoi on pouvait l'aider.

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Bah j'ai fugué parce que je voulais pas qu'il me dépose dans un foyer pour délinquant dans le nord du Japon, j'ai besoin de rester à Shinjukû. Ça dépend tu as quoi à proposer ?
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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyJeu 17 Nov - 22:56

Même si c'est une inconnue...


Karot n'en parlait jamais pour diverses raisons mais il est important que vous sachiez une chose que vous avez déjà sans doute dû deviner étant donné que vous savez qu'il est un Yakuza, enfin encore un fils de Yakuza car il n'avait pas encore complètement hérité de la famille dont son père avait hérité de son propre père avant lui... Bref, vous avez sûrement dû deviner comme je le disais précédemment que le jeune homme en question avait un grand nombre d'hommes sous ses ordres, ou plutôt ceux de son père. Combien de fois le jeune Yakuza s'était senti observé alors qu'il marchait tranquillement à l'époque où il n'avait pas encore décidé de devenir un récupérateur. Bien entendu, c'était une attention que Karot avait parfaitement été capable de comprendre et qu'il n'avait aucunement reproché à son père mais... Même si il savait bien que la menace des familles rivales et d'autres dangers divers était belle et bien présente pour ne pas dire omniprésente, il avait bien fait comprendre à son père qu'il ne voulait pas être ainsi surveillé et protégé, si il avait des problèmes il voulait être capable de les régler seul, ou alors de se faire ses propres amis et alliés mais pas devoir compter sur son père indéfiniment, il grandissait et il devait montrer que ce n'était pas seulement au niveau physique que cela se passait.

C'était dans un certain sens la difficulté que le jeune homme avait choisit là, il aurait simplement pu faire comme beaucoup de futurs héritiers de familles de Yakuza faisaient, autrement dit, profiter de la protection de leur père, faire ce qui leur plaisait car ils savaient que de toute façon rien ne pouvait leur arriver, le problème avec ce genre de situation, c'était que le revers de la médaille pouvait être des plus... Destructeurs pour citer le premier mot qui me vient présentement à l'esprit. Non, Karot préférait avoir sa propre vie indépendamment de celle de ses parents et de ses ancêtres, bien que cela ne signifiait pas qu'il dénigrait quoi que ce soit, attention à ne pas faire d'amalgame ou quelque chose y ressemblant. C'était certes un choix qui venait du jeune Karot mais, c'était aussi quelque chose qu'il savait qu'il n'aurait pu faire si ses parents étaient plus stricts et plus attachés à la poursuite du chemin des ancêtres quoi qu'il arrive, s'ils avaient été des personnes bornées et un peu connes sur les bords, ce serait sûrement ce qu'il se serait passé, vous savez ce que j'ai dit au début de ce paragraphe. Mais bon, il se serait quand même débattu pour échapper à tout cela mais pour dire la vérité, il n'était pas sûr qu'il aurait été capable de se défaire des liens familiaux, perdre sa famille était quelque chose de véritablement tragique après tout.

Karot s'était souvent interrogé sur les Mafias des autres pays dont il avait simplement entendu parler grâce à divers ouvrages et par rapport aux histoires annexes de la Famille Ryuu mais... Il n'en savait pas plus que cela sur eux en définitif, il savait qu'il y avait la Mafia Japonaise qui était en fait composée des Yakuza et dont le jeune homme faisait parti qu'il le veuille ou non, heureusement qu'il l'acceptait alors n'est-ce pas ? Il y avait ensuite une autre Mafia dont le jeune garçon avait entendu parler de la même façon, c'était la Mafia Russe dont il ne savait que très peu de choses et ce n'était pas peu de le dire, ça c'est une chose que je peux vous assurer en étant même sûr de ne pas me tromper d'une manière ou d'une autre. Bon, il lui semblait aussi qu'il y avait une Mafia en Amérique mais il n'était pas vraiment sûr de cela, il avait cru lire cela dans un livre mais il n'arrivait même plus à saisir le nom du livre dans son esprit, bizarre lui qui avait une si bonne mémoire habituellement... Finalement, il avait entendu de la Mafia Italienne qui semblait de loin être l'une des plus dangereuses et surtout la plus connue, bien avant les Yakuzas d'ailleurs si le jeune Karot ne se trompait pas. Dans un certain sens il avait toujours été fasciné par la Mafia Italienne mais il n'avait jamais été tenté d'en faire partie.

Enfin... C'était bien beau de se perdre dans toutes ces petites pensées là mais maintenant il fallait que le jeune Karot revienne au plus vite à la réalité pour pouvoir se pencher sur ce qui l'intéressait réellement en ce moment-même, autrement dit la jeune demoiselle qu'était Nana Abaraï et qui était en fin de compte une parfaite inconnu pour lui. Eh bien... Elle était censée se diriger vers le Nord du Japon avec la police afin d'être placée dans un foyer destiné aux jeunes délinquants, cela signifiait donc que la jeune femme était considérée comme une délinquante par la loi mais... Cela voulait-il dire qu'elle en était vraiment une ? Karot avait un petit doute sur cela, il n'y croyait même pas du tout pour vous dire la vérité et donc être franc avec vous. Elle avait besoin de rester à Shinjuku pour une raison que le jeune homme qu'était Karot ignorait totalement mais il pouvait en tout cas comprendre qu'elle soit attaché pour une raison ou une autre à cette ville... De plus, elle voulait savoir ce qu'il avait proposé, c'était déjà un bon signe qu'elle n'aie pas directement refusée... Karot espérait bien gagner sa confiance même si il se disait que ce ne serait peut-être pas chose réellement aisée mais quoi qu'il en soit... Il ne voulait pas sa confiance pour la trahir après hein, c'était même tout le contraire, le sourire du jeune homme n'était pas artificiel après tout.


"Pourquoi dois-tu rester à Shinjuku ? Eh bien, je peux te proposer un logement dans lequel la police risque d'y réfléchir à deux fois avant de tenter quoi que ce soit, peu importe qui s'y trouve. C'est mon logement par contre, je te préviens. Qu'en dis-tu ?"
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Aria Zanelli

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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyVen 18 Nov - 23:28

Une fugue, une rencontre


Tout ce qui concernait la mafia japonaise était quelque chose de totalement abstrait pour elle, bien que son père avait des contacts dedans, enfin il n'était pas la pour lui apprendre, elle comprendrait surement mieux le chinois donc. Pourtant elle avait connue un Yakuza une fois, il faisait partie d'une des plus grandes famille du Kanto, en discutant avec lui elle avait apprit qu'il aurait du hérité de la tête du clan, mais il avait refusé car il ne se sentait pas près. Il avait très courtois avec elle, en même temps c'était elle qui avait du lui rechercher un bon fournisseur d'arme à feu car il ne connaissait pas les bonnes personnes aux Mugenjô pour avoir ce genre d'objet de mort. Parfois elle se demandait ce qu'il était devenue, peut être était-il mort dans un règlement de compte, à moins qu'il ne soit retourner en prison encore une fois ? Ce n'était pas ses affaires après tout, et elle n'irait pas chercher quoique se soit sur lui, même pour s'assurer qu'il soit toujours de se monde. C'était triste, mais c'était comme ça, elle ne portait pas plus d'attention que ça aux autres s'ils ne faisaient pas partie de ses proches. En plus elle avait autre chose à penser que de se préoccuper de la vie de quelqu'un qui avait été gentil une journée avec elle, sa priorité était survivre et comprendre le monde qui l'entour. Si seulement elle savait la vérité de se monde et du château, elle en serait surement bouleversée, et c'est ce qui finirait bien par arriver si elle y retourne pour se brancher aux archives du monde.

Le jeune Karot avait bien de la chance, il avait la chance d'avoir une famille et d'avoir grandit dans un foyer avec ses propres parents. Lorsqu'elle apprit qu'une famille normal était composée d'une mère et d'un père, elle s'était souvent demander à quoi cela pouvait bien ressembler, quel effet cela pouvait bien faire de vivre avec des parents, elle avait même une fois rêver à ce que serait sa vie si elle en avait. Mais comme elle n'y connaissait rien et ne savait pas comment c'était une famille, sa vision des choses étaient totalement différente de la réalité, pour ne pas dire très différente. Peut être qu'un jour quand elle serait adulte, si toute fois elle réussit à survivre jusque là, elle fondra sa propre famille et découvrira d'elle même ce que c'est et comment ça marche. Car on pourrait lui expliquer encore et encore, elle n'y comprendrait rien puisqu'elle n'a ni tester ni vu, elle et les autres enfants du château ne savaient même pas comment jouer au papa et la maman, alors que c'était un jeu commun à beaucoup d'enfant. En même temps comment jouer à quelque chose qu'on ne connait pas hein ? C'est pas logique et difficilement réalisable. En y réfléchissant bien, dans un sens ce n'était pas plus mal qu'elle n'ait pas connue sa famille lorsqu'on savait à quoi ressemblait ses parents, enfin surtout son père, car sa mère aurait été quelqu'un de bien sans lui, et elle aurait surtout était toujours en vie même s'il ne l'avait pas tué de ses propres mains.

Malgré le faite qu'elle n'y connaissait rien à la vie familiale, elle avait quand même réussit à tenir un rôle de grande sœur, si ce n'est de mère auprès des autres enfants issue du malheur des bas fonds du château. Du coup les garçons plus vieux qu'elle, jouait le rôle de grand frère pour elle et les autres, mais du coup, il n'y avait personne pour lui donner un semblant d'amour maternelle puisque c'était elle qui jouait se rôle. C'était un vide qui l'avait pesé durant des années, le besoin d'une mère qu'elle n'aurait jamais. Bien sûr avec le temps elle s'y était habituée et faisait avec, mais au fond d'elle même, ça avait beaucoup jouer sur sa mentalité comme sa perception du monde. Mais ce manque affective n'avait en rien alterné sa grande gentillesse, au contraire ça l'avait peut être augmenté, mais sa confiance envers les adultes elle en revanche en avait prit un coup. Faut dire que son milieu de vie n'aidait en rien puisque c'était les adultes qui massacraient les enfants voir les dévoraient. Dire que la chaire et les os étaient utilisé comme monnaie … ça fait froid dans le dos hein ? Autant vous dire que fermer les yeux la nuit était quelque chose d'effrayant, on avait l'impression que jamais on ne se réveillerait.

Doucement mais surement le cerveau de la jeune fille se remettait en place tant bien que mal, même si c'était assez difficile entre ce qu'elle a prit et le stresse qu'elle avait eut, elle était un peu perdu mentalement. N'oublions pas qu'elle restait quand même une jeune fille fragile et donc facilement perturbable si l'on touchait à ses repères qui étaient les seuls choses qui lui restaient. Enfin là il y avait quand même un changement dans sa vision des choses car un inconnu lui proposait son aide. Ce n'est pas tant le faite qu'il soit inconnu qui était étrange pour elle, car elle avait déjà proposer de l'aide à des gens qu'elle ne connaissait pas dans le château et avait reçut de l'aide de parfait inconnu, mais c'était plutôt le fait qu'il venait de l'extérieur. Bah oui or mi les membres de son gang et du foyer d'accueil où elle avait séjournée elle ne connaissait pas grand chose à la mentalité des gens de l'extérieur, c'était nouveau pour elle. D'un naturelle chaleureux elle affichait tout le temps un sourire sur ses lèvres, faut dire que le jeune garçon aidait bien vu qu'il en avait un également, sa motivé donc à continuer. Ce dernier lui proposa même de venir chez lui pour se cacher de la police, c'était très aimable de sa part, mais sa proposition arrivait un peu tard, elle avait déjà récupéré un logement pour la nuit, puisque demain elle repartirait surement au château.

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Parce que je ne connais que Shinjukû, ma vie est ici en gros. Oh ne t'inquiéte pas pour le logement, tout à l'heure j'en ai trouver un de la part d'une connaissance, c'est gentil de proposer. Mais pour savoir il est comment ton logement ?
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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptySam 19 Nov - 0:35

Je ne risque rien.. Si ?


Karot savait énormément de choses sur énormément de sujets mais cela ne lui avait jamais suffit, il avait toujours été curieux et avait toujours cherché à s'interroger que ce soit sur lui-même ou sur les autres... En définitif, après de longues années d'interrogations et d'analyses de la psychologie humaine, avec pour seuls cobayes au sens honorable du terme, car il y en avait bel et bien un que vous y croyez ou non, avaient été ceux de sa famille. Mais bon, je dois avouer que le mot cobaye pourrait paraître un peu péjoratif, mais dire sujet était aussi assez réducteur vous ne trouvez pas. Disons plutôt que tout ce qu'il connaissait de la psychologie humaine, il le connaissait par le biais de sa famille. Et cela par diverses façons que je vais m'empresser de vous expliquer afin de ne pas vous laisser dans un flou qu'il soit total ou partiel plus longtemps. Comme vous le savez, la mère de Karot lui avait donné toutes les bases culturelles et avait en gros fait son éducation intellectuelle complète, la psychologie y était donc aussi passé car c'était une chose importante pour un guerrier, connaître les failles de la psychologie permettait à celui-ci d'exploiter ces dernières et aussi à connaître ses propres failles lorsqu'on était bon. Et en deuxième lieu, l'observation avait été l'un des principaux moteurs de cette nouvelle connaissance de l'homme de Karot, enfin, il avait encore beaucoup à faire pour comprendre toute la mentalité humaine.

Karot était en réalité en perpétuel danger lorsqu'il était dehors, enfin c'était en tout cas ce qui était supposé être le cas, vous vous demandez pourquoi ? Eh bien, être un Yakuza signifiait faire partie de la pègre comme vous le savez sûrement et... Comme vous le savez aussi sans doute, se faire des ennemis dans la pègre n'était pas du tout chose difficile, bien au contraire... Surtout lorsqu'on commençait à prendre un peu trop d'influence mais bon... Pour la famille de Karot, ce n'était pas qu'il commençait à en prendre trop, c'était qu'ils en avaient déjà beaucoup trop au goût de beaucoup d'autres Familles de Yakuza pour des raisons que le jeune homme ignorait pour la plupart. Il avait juste cru comprendre que si ils pouvaient tuer le futur héritier de la Famille Ryuu, autrement dit le jeune Karot, ils seraient bien contents car, ce dernier n'ayant aucun frère, cela signifierait la fin de la Famille du jeune homme mais... C'était plus ou moins impossible pour diverses raisons dont une que je vous ai explicitée plus tôt et qui dérangeait grandement le jeune homme. Pour ceux qui ne s'en souviendrait pas, il s'agissait des sortes de gardes du corps qui devaient surveiller le jeune adolescent dès qu'il mettait un pied dehors, avant ils étaient une vingtaine et maintenant ils étaient passé à une demi-douzaine beaucoup plus discrets mais le jeune homme les avait quand même remarqué mais il préférait ne rien dire.

Karot était quelqu'un de très discret dans la plupart des domaines, il se fondait assez facilement dans la masse mais il se distinguait tout de même à l'intérieur de cette dernière, cette phrase vous semble des plus étranges vous dîtes ? Comment vous l'expliquer d'une autre manière, beaucoup plus simple ? A condition que cette dernière existe bien évidemment, laissez-moi réfléchir vous permettez ? Ah, je pense avoir trouvé ce qu'il vous faut pour comprendre ! Karot était très riche mais les signes extérieurs de sa richesse justement étaient très peu présents, il n'était pas habillé d'un costard mais d'un simple Kimono par exemple, bien qu'il avait une haute valeur sentimentale. Il n'avait pas de grosse montre en or, argent ou je ne sais quoi d'autre mais une simple montre à gousset... Enfin, simple était très loin de la vérité mais bon, comment le jeune homme aurait-il pu savoir que cette montre qu'il avait trouvé dans un coin de sa chambre un jour était antique et avait appartenu à son grand-père, qui l'avait en fait hérité de son propre père ? Donc pour lui, elle était parfaitement normale malgré sa grande beauté mais pour les connaisseurs, elle était beaucoup plus que ça. Bref, il n'avait rien d'un riche pour faire court mais qu'est-ce qu'il l'était par contre, pas très étonnant quand on savait qu'il était le futur héritier d'une des plus grandes Familles de Yakuza du Japon, ou en tout cas de Shinjuku.

Enfin bref, il n'y avait pas grande utilité à parler plus longtemps de la Mafia Japonaise ou des Yakuzas si vous préférez, vous en découvrirez bien assez et ce bien assez tôt je peux vous l'affirmer et même vous en donner ma parole d'honneur. Mais plus sérieusement, l'avantage lorsqu'on était membre d'une famille mafieuse comme celle de Karot, c'était que tous les membres de la Famille Mafieuse étaient comme des membres de la famille proche à part entière. De ce fait, lorsque Karot disait qu'il ne s'était entraîné à la compréhension de la famille humaine qu'avec sa famille, celle qui était mafieuse était aussi comptée, je tenais juste à le préciser. Vous savez, certaines personnes contestaient l'accès futur de Karot à la tête de la Famille même si il n'était question d'une minorité mais quoi qu'il arrive, cela ne dérangeait absolument pas le jeune garçon de toute façon. Alors que Karot était plus ou moins profondément plongé dans ses pensées, il se rendit compte que la jeune Nana semblait enfin émerger, comment pouvait-il le savoir qu'il semblait immergé justement ? Eh bien il ne fallait pas se fier aux apparences ! Enfin bref, Nana avait réussit à se débrouiller pour la soirée alors c'était tant mieux, elle voulait savoir à quoi ressemblait son logement dont il venait de lui parler si je me souviens bien...


"Je vois, eh bien c'est tant mieux j'ai envie de dire, je n'aurais pas à m'inquiéter ce soir. Mon logement ? Il est grand, très grand. Il est un peu vide pour le moment comme je viens d'emménager avec mes affaires. Il est très beau je trouve, je te montrerais peut-être un jour si tu le désires. Je vais bientôt devoir y aller d'après ma montre. Tu ne voudras sûrement pas m'accompagner vu que je dois retourner dans Shinjuku même, au centre ?"
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Aria Zanelli

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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptySam 19 Nov - 14:20

Une fugue, une rencontre


La jeune fille qu'était Nana était peut être ignorante sur plein de sujet, n'ayant reçut aucune éducation pour lui apprendre à étudier, elle se contentait du minimum à savoir pour survivre, et apprenait de ce qu'elle voyait tous les jours, mais elle avait dans même des sujets où elle était passé maitre en la matière si ce n'est plus. L'informatique et la mécanique n'avaient aucun secret pour elle, c'était comme des parties de son êtes, et ce n'est pas peu dire quand on savait qu'elle avait été un sujet d'expérience pour la fabrication d'un humain capable de servir d'ordinateur, une sorte de robot organique en somme. La seule chose que le scientifique fou n'avait pas prévu c'est qu'en créant une petite fille bionique, l'ordinateur lui deviendrait humanoïde, qu'il créerait Pluto en somme. C'était sa seule erreur dans ses calcules, car tout était parfait, la petite était capable de se synchronisé parfaitement avec une quelconque source informatique, mais Pluto lui n'avait d'yeux que pour elle justement, et la voir ainsi mal mener encore pire que du vulgaire bétail, et encore même le bétail d'un abatoire ne mérite pas de subir des sévices aussi ignoble que ceux qu'ils subissent pour qu'ils puissent finir dans vos assiettes sans aucun remerciement pour vous nourrir, juste parce que pour tout le monde que du bétail se fasse abattre cruellement pour nourrir les hommes est une chose des plus normal au point que cela soit devenue d'une grande banalité. C'était aussi le problème de la violence au seins des bas fonds de Shinjukû, le massacre d'autrui était tellement courant qu'il c'était banalisé et que tout le monde s'en fichait éperdument, mais ça je vous l'ai déjà dis non ? Enfin bref, revenons aux sujets dont la petite Nana était une experte à part entière, la petite s'y connaissait tellement bien qu'elle pourrait surement piraté n'importe qu'elle sécurité électronique, et réduire en pièce détaché les plus grands robots ou création mécanique. Même une armure de samouraï n'avait aucune chance fasse à ses capacités de démontage et d'assemblage.

Cependant être câblé à des fils électroniques, électriques, qui entre dans votre chair, transmettant des produits et divers organismes dans son propre organisme n'était pas une chose des plus agréables au monde. Imaginez vous câblés à toutes les câbles qui compose votre ordinateur même ceux de la carte mère et graphique, ça vous donne envie hein ? Pas la peine de rêver, c'est de la torture, sauf si vous êtes soda-masochiste, dans ce cas là ne vous gênez pas pour vous enfoncez des prises dans le corps, mais attention au cicatrice. D'ailleurs en parlant de ça le corps de la jeune fille en avait, peut être pas des tonnes et des tonnes, mais son corps avaient été suffisamment lacéré pour être relativement défiguré. Enfin ce n'est pas comme si elle s'intéressait à son corps et qu'elle voulait être une jolie jeune fille, son apparence physique était au contraire le cadet de ses soucis, et puis elle ne voyait pas l'intérêt d'être mignonne. Ça ne veut pourtant pas dire qu'elle n'était pas mignonne pour autant, c'était même plutôt l'inverse puisqu'elle avait un doux visage angélique et un physique très appréciable. Mais voilà elle s'en fichait complétement, ce n'est pas comme si elle voulait séduire des garçons ou se trouver un petit ami, elle n'y voyait pas l'intérêt et pour être honnête elle n'avait même pas confiance de se genre de chose, on peut pas dire qu'il y ait beaucoup de couple visible de le Mugenjô vu qu'il y avait un cruel manque d'amour à l'intérieur du château si ce n'est que ce sentiment était inexistant.

Est ce que ce genre de relation lui manquait ? C'était difficile à dire puisqu'elle n'en avait pas confiance, on ne peut donc pas ressentir de manque par rapport à quelque chose dont on ignore complétement l'existence, voir la sensation que cela procure. L'ignorance peut donc avoir des côtés positifs, c'est comme quelqu'un qui n'a jamais touché à la drogue, à aucun moment il ressentira un manque des sensations qu'elle procure et donc le plonger à recommencer. Malheureusement ce genre de chose dangereuse et illicite elle y avait déjà touché, donc il est fort possible qu'un jour sans crier gare elle ressente le besoin d'en prendre même si elle avait réussit à arrêter, quoiqu'il en soit nous n'en somme pas encore là vu qu'elle est loin d'être accroc à ces herbes dit médicinal par certain. Étrangement les principaux êtres touchés par la drogue c'était les pauvres miséreux qui avaient du mal à s'en sortir dans la vie tant ils étaient englué dans la misère, alors que se procurer de la drogue était quelque chose de bien difficile et de souvent cher. Allez savoir pourquoi les grands noms de la pègre Japonaise vendaient leur marchandise principalement aux château de l'infini malgré qu'ils soient tous pauvres, enfin ça marchait bien car justement tous les pauvres s'en procuraient par tous les moyens, même s'ils devaient vendre leur propre famille si toute fois ils leur en resté une. Les riches du Mugenjô eux n'avaient pas besoin de prendre de telle chose, que se soit la reine ou les êtres de Babylone City, ils étaient bien au dessus de tout cela, puisqu'ils étaient des êtres d'exception.

Le jeune garçon en fasse d'elle n'avait lui aussi pas besoin de ce genre de chose, comme dit précédemment, les personnes aisés n'en avaient étrangement pas besoin. Peut être que les personnes fortuné avaient quelque chose de spéciale pour ne pas y succomber ? L'argent avait-il se pouvoir ? Car la seule différence entre eux et le bas peuple c'était quand même la richesse. Nana en était sûr ce garçon avait les moyens de s'offrir une belle vie, vu comment il parlait de son logement, car la ville de Tokyo était la ville la plus peuplé au monde, autant vous dire que des maisons ne servaient à rien c'est comme Paris ça n'existe presque pas, et encore si Paris pouvait se permettre d'en mettre quelque une, la capitale Japonaise ne le pouvait pas car il y avait quand même le triple d'habitant et plus que la capitale Parisienne, autant vous dire que c'était peuplé et que prendre le métro ou marché dans la rue c'était presque le risque de vivre la vie d'une sardine compressé dans une boite de conserve. Seule les grands PDG d'entreprise et les principaux membres des familles mafieuses pouvaient se permettre ce genre de logement peut discret dans la ville de Tokyo. Elle en déduit donc qu'il était où fils de riche homme d'affaire ou d'un chef de clan Yakuza, voir de la maison principale de celle-ci. Elle le regardait donc avec de grand yeux ahurit qu'il puisse avoir un tel logement, enfin surtout qu'un tel logement existe, car elle n'en avait jamais vu, entre des taudis et une petite chambre dans un foyer d'accueil, on ne peut pas dire qu'elle ait vu un quelconque logement d'un niveau de vie un peu plus correcte. Karot, lui proposa alors de l'accompagner si elle le voulait bien dans le centre de Shinjukû car visiblement il devait y aller, peut être avait-il un rendez vous important ? Bah ce n'était pas ses affaires après tout.

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La chance ! Ça doit être super d'avoir un logement à soi, et surtout un grand logement ! Tu dois aller faire quoi ? Hum pourquoi pas … mais faudra qu'on soit discret.
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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptySam 19 Nov - 22:10

Il est presque l'heure.


Soyons clairs, le jeune homme qu'était Karot était bien loin du monde dans lequel la jeune demoiselle avait vécut depuis sa naissance... Il ne savait rien avec exactitude mais il était capable de deviner grâce à diverses choses qu'elle était loin d'avoir eu une enfance des plus simples. Dans les yeux de la jeune demoiselle, car le jeune homme avait un sens empathique très développé, chose qu'il venait de remarquer d'ailleurs... Bah oui, car il n'avait jamais tenté de lire dans les yeux de son père, enfin il n'essayait pas non plus là mais bon... Il fallait dire qu'il avait souvent eu des prédispositions lui indiquant cette capacité, ce n'était en rien une capacité inhumaine, n'importe quel humain pouvait la posséder, à la différence près que, contrairement à certaines autres capacités, il ne suffisait pas de travailler... Et non, l'empathie était, chez la plupart des humains, quelque chose d'inné, un don qu'on ne pouvait acquérir après sa naissance sauf que... Il y avait des humains un peu particuliers je dirais, enfin je ne vais pas m'éterniser sur le sujet, surtout que je n'ai toujours pas fini ma phrase... Je disais donc que dans les yeux de la jeune Nana, Karot avait pu voir que son enfance avait été constitué de violence, de la peur de mourir, du sang et d'un tas d'autres émotions les plus négatives les unes que les autres, c'était un peu effrayant à dire vrai.

Enfin, il y avait tout de même une chose qu'ils avaient plus ou moins en commun à condition que le jeune Yakuza ne se trompe pas bien évidemment. Quelle était cette chose ? Le fait qu'ils avaient tous les deux connus une atmosphère de violence lors de leur enfance mais bon... La sphère de violence qui avait entouré Karot était beaucoup plus appréciable et douce que celle qui semblait avoir entouré Nana. Je m'explique, pour ceux qui ne le sauraient pas et je pense qu'ils sont plutôt rares à dire vrai, Karot s'entraînait depuis qu'il était âgé de quatre minuscules années par son père, pour ne parler que du physique et des Arts Martiaux. Avec tout cela, le jeune garçon avait toujours vécu dans une atmosphère de violence pouvant être qualifiée de passive car ce n'était pas une violence sanguinaire, loin de là d'ailleurs. Bon, il fallait dire que lorsqu'il ne semblait pas prendre les exercices au sérieux et lors de certains combats, son père lui explosait littéralement la tête mais au sens figuré bien sûr. Mais, si il ne se trompait pas sur la jeune fille qu'était Nana, elle avait vécu dans le Mugenjô car sa couleur de yeux n'était pas vraiment naturelle pour une personne du monde que ceux du Mugenjô appelaient parfois le Monde Extérieur, et il n'y avait pas besoin d'être un savant pour comprendre la suite, beaucoup de personnes connaissaient la vie là-bas, ne serait-ce que de réputation.

Karot connaissait plutôt bien le Mugenjô car son grand-père lui en avait parlé à plusieurs reprises et les descriptions qu'il lui en avait fait étaient pour le moins... Horribles. Le jeune homme en avait fait des cauchemar à l'époque pour être sincère avec où... Bon, il n'avait même pas dix ans mais ce n'était pas une excuse, nul doute que si on lui avait révélé cela à l'âge qu'il avait actuellement, du haut de ses 16 ans, il aurait aussi fait des cauchemar dignes d'un film d'horreur par un grand réalisateur. Beaucoup de choses étaient effrayantes dans ce que lui racontait son grand-père mais si il devait retenir une seule et unique chose... C'était que dans le Mugenjô, la phrase disant que le plus fort survit et que les faibles lui servent de nourriture était particulièrement vrai en ces lieux. Il en avait eu la preuve orale mais il ne voulait pas avoir la preuve concrète si on pouvait dire cela. Pas pour le moment, il irait dans ce Château de l'Infini un jour, peut-être même plus tôt qu'il ne le pensait mais pour le moment, ce n'était pas non plus à l'ordre du jour. Et puis, à son niveau il n'était même pas sûr d'atteindre la Belt Line et il était sûr de ne pas réussir à atteindre Babylon City, le rêve de beaucoup d'êtres humains dans ce monde et dans celui du Mugenjô... Karot se demandait bien ce qu'il pouvait y avoir en ces lieux mais bon, il n'en savait absolument rien.

Maintenant qu'il y pensait un petit peu, il se posait la question... Nana avait-elle au moins reçu une éducation entre le Mugenjô et son foyer ? Une véritable éducation intellectuelle et tout ce qui y touchait je veux dire... Et il avait bien l'impression que non vous voyez. Mais bon, il était invraisemblable de penser qu'elle avait été capable de survivre, que ce soit dans le Mugenjô ou dans le Monde extérieur sans avoir des capacités qui lui étaient propres ou en tout cas, des disciplines dans lesquelles elle pouvait dire qu'elle excellait. Il supposait que oui mais il le découvrirait de toute façon quand le moment viendrait vous ne pensez pas ? Avait-elle déjà eu une véritable relation ne serait-ce qu'amicale avec quelqu'un ? Pas par besoin mais simplement par désir ? Il en doutait aussi. De toute façon, Karot doutait que la jeune demoiselle aie vécu quoi que ce soit de véritablement heureux dans sa vie jusqu'à maintenant, peut-être qu'il se trompait et qu'il était pessimiste mais il avait plutôt l'impression d'avoir raison et d'être réaliste. Enfin, comme le disait Nana avec des yeux qui semblaient déformés par l'étonnement, il avait de la chance d'avoir un grand logement à lui, il devait l'avouer... Il avait grandement eu besoin de son père sur ce coup-là mais bref ! Il allait être en retard là, et il savait être discret alors...


"Oui en effet, c'est vraiment super. Eh bien, je dois voir ma cliente pour lui rendre son objet, faire un tour chez moi et je te raccompagnerai si tu veux ? Ne t'inquiètes pas pour la discrétion, ça me connaît. Par contre il est presque l'heure, je dois y aller. Alors je vais partir, tu me suis ou pas ?"
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Aria Zanelli

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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyDim 20 Nov - 0:49

Une fugue, une rencontre


Ha l'empathie quel beau sentiment, enfin sa dépendait car avoir de l'empathie pour un des plus grands psychopathe est quelque chose de terriblement frustrant et horrible à vivre, car qui aurait envie de ressentir de l'empathie vis à vis du criminel qui à massacrer votre famille en la torturant ? Pas vous j'ose espérer, à moins que vous soyez un parfait sadique qui irait serrez la main au criminel, enfin remarquez si votre famille était odieuse ça peut se comprendre. Enfin Nana avait eut de la chance car jamais elle n'en avait éprouver pour un des monstres qui peuplaient le château de l'infini, mais ça expliquait sa grande douceur envers autrui et son attachement particulier pour Pluto qui bien qu'il était un robot elle le considérait comme son égale puisqu'il était capable de ressentir des émotions qu'elle comprenait mieux que personne. Ce lien si particulier était en même temps unique car il avait prit vie grâce à elle, c'est donc elle qui lui donna une âme si on peut dire, pour Pluto Nana était un ange à part entière et qu'il aimait plus que tout au monde, pour cela qu'il avait tuer son père adoptif, si toute fois on pouvait appelé le scientifique qui la prit pour cobaye ainsi, parce qu'il lui faisait du mal et qu'il ne supportait pas cela. Quand à elle, elle savait qu'elle pouvait lui faire confiance et lui confier sa vie, c'était surement la personne la plus proche d'elle et en qui elle pourrait tout confier et tout sacrifier, il l'avait aider à fuir la zone central après tout, malheureusement pour elle il était loin et ne pouvait pas la prendre dans ses bras à cause de sa condition physique.

La vie dans le Mugenjô c'était un peu comme une roulette russe, ou une grande loterie, les chances de mourir étaient immense alors que les chances de survis se comptaient sur les doigts d'une main. Ce qui était relativement horrible c'était de savoir qu'il y avait toujours autant de miséreux qui y vivait alors qu'il y avait un taux de mortalité dépassant les quatre-vingt-dix pour-cent. Ça veut dire que malgré l'horreur de l'endroit il y avait toujours des gens désespéré qui venait s'y réfugier parce qu'ils avaient tout perdu ou qu'ils étaient rejeté du monde extérieurs. C'était triste de se dire qu'il y avait des gens qui n'espéraient plus rien au point de se rendre dans cet endroit vous ne trouvez pas ? Imaginez des gens désespéré qui allaient chercher une sorte de monde meilleur dans un camps de concentration, glauque non ? Bah là c'était pareille, le Mugenjô n'était pas un camps de concentration mais il était tout aussi violent, voir pire, donc imaginez l'enfer que c'est que d'y vivre. Et le plus c'est que plus on montait haut dans les étages et pire c'était, d'ailleurs personne n'allait jusqu'à Babylone City car personne ne survivait plus d'une seule misérable petite journée dans la zone centrale. La différence de puissance n'avait aucune équivalence et il n'y a pas de mot pour l'expliquer, enfin je vais essayer mais de manière très imager, imaginez que vous affronter un varan , celui-ci représentera la partie basse, et qu'ensuite vous vous battez contre un dragon ? Vous voyez un peu le délire de la différence ? Bah là c'est pareille, déjà que les monstres d'en bas sont violent, mais plus on monte et pire c'est, voilà pourquoi elle avait peur de retourner dans la zone centrale, car elle savait bien qu'elle n'avait aucune chance de survit si elle y entre.

C'est vrai que si on est faible au Mugenjô on se fait dévorer ou massacrer, dans les deux cas votre chaire et vos os sont retirer de votre dépouille pour servir de monnaie d'échange, et finissent indéniablement par être déguster ensuite par quelqu'un. Par chance ce n'était pas le sort que ses amis avaient subit, remarquez que psychologiquement elle ne s'en serait jamais remise, déjà qu'elle avait eut du mal à se redresser de leur mort alors s'ils avaient été dépecé là s'en était finit de son esprit fragile. Mais bon il lui faudra vite devenir plus forte mentalement si elle veut retourner vivre à Belt Line, les bourreaux y avaient élu domicile et c'était eux les plus dangereux, bien que le chef de cette zone ne fasse pas partie du groupe, on peut même dire qu'il était en un sens leur ennemie, mais ne cherchant pas l'affrontement il ne les attaquait pas. Peut être qu'elle devrait trouver de l'aide auprès du chef de la zone centrale ? Ainsi elle aurait plus de chance de survit. Contrairement à la plupart des habitants du château, la jeune fille n'avait jamais eut particulièrement envie de se rendre à Babylone City, dire qu'elle n'y avait jamais pensé serait un mensonge. Enfaite au fond d'elle même elle savait qu'elle ne pouvait pas y aller, ce monde était réserver à ceux qui y vivaient déjà, et seule une seule personne de l'extérieur pouvait y aller, et ce n'était justement pas elle. Tant pis de toute façon grâce à Pluto et aux archives elle apprendrait bien rapidement la vérité du l'histoire du Mugenjô.

L'éducation quel drôle de mot, c'était une chose qui était resté longtemps abstraite pour elle, d'ailleurs lorsqu'elle sortie du château et que la police l'envoya dans un foyer d'accueil pour jeune en difficulté, on l'inscrit à l'école, chose qu'elle ne connait absolument pas. Autant dire qu'elle était bien déstabilisé en s'y retrouvant et qu'elle était un cancre confirmer puisqu'elle avait du retard par rapport à toute la classe ! Elle savait à peine lire et écrire correctement, ce qui lui fallut de subir les brimade de ses camarades et même ses professeurs. Mais bon grâce au faite que ses professeurs ne lui prêtaient pas d'attention, faut dire que Nana passait plus de temps à se livrer à des guerres de gang qu'aller en cour, elle eut largement le temps d'apprendre à lire et écrire correctement. En échange elle délaissa totalement les sujets scolaires que le reste de la classe étudiait, ainsi sa culture elle l'apprenait sur le tas, elle ne savait que ce qu'on lui racontait et ce qu'elle voyait. Même les conte et les légendes, et encore eux elle ne savait pas si c'était vrai ou faux, personne ne lui avait jamais apprit. Le jeune Karot lui semblait avoir eut le droit à une éducation, elle ne saurait dire si elle fut très poussé ou non, mais il avait surement plus de culture qu'elle en avait. Enfin ce dernier lui proposa alors de l'accompagner voir sa cliente, car il ne faut pas oublié qu'il avait récupéré un objet voler auprès d'un petit gang de pacotille.

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D'accord, de toute façon à part rester ici jusqu'à la tomber de la nuit je n'ai rien à faire. Donc je te suis.
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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyDim 20 Nov - 9:08

Bienvenue chez Moi.


Il s'était passé quelques temps depuis que Karot avait rencontré Nana et s'était battu contre ces personnes si stupides qui osaient se nommer gang, ce qui était bien entendu une insulte aux vrais gans qui valaient beaucoup mieux que ça et qui étaient surtout beaucoup plus forts et mieux organisés... Karot le savait car, dans un certain sens, il formait lui aussi lui-même un gang bien qu'un peu particulier. Il faisait parti de la Famille de Yakuza Ryuu qui, comme je l'ai déjà plus ou moins explicitement dit, était l'une des familles les plus puissantes du Japon. Ils étaient en rivalité avec quelques autres familles mais le jeune Karot ne s'en préoccupait pas plus que cela pour le moment, il savait qu'il était une cible mais il s'en moquait bien... Il était capable de se défendre et il ne laisserait pas quelqu'un lui enlever la vie aussi facilement. Vous vous demandez de quoi pouvait bien vivre une Famille de Yakuza comme celle du jeune homme ? Je dois vous avouer que ce n'était rien de très légal, à part peut-être la partie pseudo gardes du corps de grandes personnalités mondiales simplement dans le but, bien souvent, de pouvoir passer de la drogue d'un pays à l'autre plus facilement. Ils étaient spécialisés dans la passe de drogues et de Katanas de manière illégales si vous tenez vraiment à connaître une partie de leur fond de commerce.

Puisque la jeune demoiselle qu'était Nana était d'accord pour suivre Karot, il lui fit signe de la main qu'elle pouvait donc le suivre avec son sourire habituel. Il n'avait pas rendez-vous si loin que ça de l'endroit où ils se trouvaient tous les deux en ce moment même. Il préférait juste être en avance plutôt qu'en retard comme dans tout ce qu'il faisait. C'était une bonne habitude qu'il avait pris au fil du temps et surtout qui lui avait été transmise par sa Famille, et oui, pleins de choses étaient impossibles pour une personne quand cette dernière arrivait en retard. Vous dîtes que vous souhaitez un peu plus de détails sur cela ? Il était vrai qu'il y avait beaucoup de choses de l'enfance de Karot qui n'étaient connus de personnes pour différentes raisons. Ce n'était pas qu'il avait voulu cacher quoi que ce soit à qui que ce soit hein, c'était juste que cela ne faisait pas réellement longtemps que le jeune homme était en véritable contact humain avec les autres même si il excellait dans ce domaine, ainsi... Il n'avait encore jamais assez fait confiance à quelqu'un pour lui parler de son enfance voyez-vous. Alors, ce n'était pas vraiment qu'il ne faisait pas confiance à Nana Abaraï mais il ne lui faisait pas non plus totalement confiance malgré son apparence quelque peu innocente. C'était normal puisqu'ils venaient de se rencontrer, mais cela pouvait changer d'une seconde à l'autre vous savez.

Pour le moment, les deux jeunes adolescents se dirigeaient bel et bien vers le centre de la ville qu'était Shinjuku dans un coin qui n'attirait pas trop l'attention. En fait, la jeune femme qui était sa cliente avait au début tenu à l'attendre à l'endroit où il l'avait trouvé mais il l'avait convaincu du fait que c'était beaucoup trop dangereux pour elle. Aussi l'attendait-elle près du centre commercial de Shinjuku, il y avait beaucoup de monde et il était ainsi plus simple de lui rendre son dû sans attirer l'attention sur elle. Et puis, se fondre dans la masse était la meilleure chose à faire lorsqu'on était recherché par la police comme l'était Nana. Il ne faisait pas payer sa première cliente car c'était une bonne stratégie pour se faire connaître mais... Ce ne serait pas toujours comme cela à l'avenir que les choses soient claires. Et surtout, il ferait connaître l'adresse de son appartement pour que les personnes aillent plutôt au niveau de celui-ci pour les affaires, ainsi que son numéro de téléphone professionnel, c'était le mieux à faire pour être le plus joignable possible. C'était d'ailleurs ce qu'il avait fait lorsqu'il avait enfin retrouvé sa cliente et qu'il lui avait rendu son objet si important pour elle. Elle lui avait alors promis de transmettre toutes ces informations à ses amis pour qu'ils sachent à qui s'adresser en cas de perte ou de vol ne pouvant être gérés par la police.

Maintenant que cela était fait, il fallait vite bouger de cet endroit et si diriger vers l'endroit où vivait le jeune homme qu'était Karot. Vous savez ce logement que ce dernier avait qualifié de plutôt grand précédemment... Peut-être ne savait-il pas vraiment faire la différence entre grand et gigantesque me direz-vous. Il avait hérité d'une des plus grandes maisons appartenant aux Ryuu après tout. Si ce n'était pas une villa, c'était seulement parce qu'il était plutôt difficile de construire une villa dans cette ville qu'était Shinjuku mais... Disons qu'il avait un appartement de plusieurs étages lui appartenant à lui et à sa future équipe de récupérateurs. Ici, il ne faisait rien d'illégal, tout ce qui se passait ici était du ressort du métier de Transporteur. Ceux qui géraient tout ce qui avait à voir avec la drogue et la passe de Katanas illégalement se trouvaient dans un bâtiment géré par son père lui-même. Lorsqu'ils arrivèrent devant le bâtiment, Karot tapa le code en bas, un code à 18 chiffres tapé à une vitesse extrême et il mit sa main pour justifier le fait qu'il était bien qui il était, sa voix et son œil furent aussi nécessaire. Une sécurité plutôt impressionnante vous dîtes ? Possible. Le logement de Karot se trouvait aux deux derniers étages étant plutôt grand et ce fut donc vers l'avant-dernier étage, où se trouvait le salon, la cuisine et tout le reste, que Karot emmena Nana. Quand ils arrivèrent enfin, je vous laisse deviner l'écran plat, l'ordinateur dernière génération et tous les trucs du genre. Mais aussi toutes les décorations de Dragons.


"Voilà l'endroit où je vis. Tu veux quelque chose de particulier ? A boire, à manger, regarder la télé, prendre une douche, te changer ou que sais-je ? Si c'est le cas fais comme chez toi."


Dernière édition par Karot Ryuu le Dim 20 Nov - 20:58, édité 1 fois
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Aria Zanelli

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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyDim 20 Nov - 18:31

Une fugue, une rencontre


Il est vrai que ça faisait un petit bout maintenant que Karot était tombé sur Nana, le temps passe toujours trop vite dans les bons moments vous ne trouvez pas ? Pourtant il devrait passer plus vite pour les choses horribles ou ennuyantes ça serait beaucoup mieux pour tout le monde ! Ah le temps qu'elle chose bien capricieuse … Encore plus lorsqu'on sait que c'est une chose qui à été voler à tous les habitants du monde, qui saura le récupéré ? Mais chute n'en disons pas plus pour le moment, la vérité sur l'origine du monde vous l'apprendrez bien assez tôt et à vos dépends qui plus est. Reste à savoir si vous supporterez la vérité. Quoiqu'il en soit seul les archives du Mugenjô avait la clé de tous les mystères du monde, car dans ses archives étaient en vrai les archives du monde entier depuis son commencement, autant vous dire que tout y était, absolument tout. Mieux qu'un professeur d'histoire, de tout les livres possibles et inimaginable sur la théorie des complots ou la création de l'univers … Le seul problème ? Les archives du Mugenjô ont une conscience, à la manière de Cerebro dans les X-man, vous savez cette série de comics américain avec des mutants ? Bah là c'est pareil sauf que les archives ne sont pas des plus aimables, en même temps pour créer des monstres capables de massacrer et dévorer les plus faibles on peut pas vraiment dire que se soit l'ami dont on a toujours rêvé … Enfin tout cela ne sont que des paroles pour le moment, bientôt vous verrez de quoi sont capables lesdites archives.

Revenons à notre jeune fille je vous pris, celle-ci n'ayant rien à faire de son après midi jusqu'à la tombé de la nuit or mi rester assisse sur les marches de l'église à fumer des joints jusqu'à ne plus en avoir, elle accepta de le suivre, ça serait surement plus intéressant que ce qu'elle avait prévus de faire. On peut pas vraiment dire que ce soit une activité particulièrement saine ni même lucrative, juste de la débauche pure et dure qui l'attirait vers les tréfonds de la déchéance en se déguisant en moment agréable pour une meilleur descente aux enfers. Nana finit donc par enfin se redresser avant d'avoir les jambes totalement courbaturées, et s'étira les bras en baillant. Puis elle partit suivre Karot qui avait déjà commencé à prendre la route, normal que ça soit lui qui commence à avancer puisque c'était lui qui connaissait le chemin logique non ? Car il est sûr qu'elle peut pas commencer à ouvrir la route si elle ne sait pas où ils doivent se rendre, c'était sa cliente après tout pas la sienne, et puis de toute façon elle n'était pas un récupérateur donc peu de chance qu'elle ait ce genre de clients un jour. Bon quand elle reprendrait la mécanique peut être qu'elle ferait payer ses clients histoire de se faire un peu d'argent pour survivre un peu mieux au château, elle pouvait fabriquer n'importe quoi il lui sera facile de trouver des clients, que se soit pour des armes à feux, des voitures ou autres. Avec ce genre ce capacité elle pouvait même s'offrir une vie hors du Mugenjô, malheureusement cela lui était impossible.

Elle le suivit alors vers le centre fille, se faisait la plus discrète possible, enfonçant bien son chapeau sur sa tête, et elle avait même cacher ses cheveux blonds dans ledit chapeau qui ressemblait fort à une casquette de chauffeur de train. Ça lui allait bien d'ailleurs, c'était son couvre chef préféré, c'était une fille que son gang des Red Tail qui lui avait donné lorsqu'elle avait réparé son vélo. Le regarde de la jeune fille se baladait de droite à gauche surveillant les moindres recoins, chaque personne, on peut dire qu'elle était aux aguets comme un fauve qui traque une proie, car il suffisait qu'un membre d'un gang rival ou une ancienne de ses filles la reconnaisse et se jette sur elle pour qu'elle soit démasqué et retrouver par la police. Pas du tout le bon plan, du coup pour elle le danger était partout et pas seulement auprès des services de l'ordre. Lorsqu'ils arrivèrent près de la cliente, elle resta à un peu à l'écart à surveiller tous les passants, tout en surveillant du coin de l'œil Karot, elle fut d'ailleurs surprise qu'il ne demande pas d'argent, bah après tout c'était son choix elle n'avait pas lui faire la remarque ou autre, il était assez grand pour faire ce qu'il voulait. En plus s'il vivait dans un milieu de vie plus favorable qu'elle, il avait surement moins besoin d'argent qu'elle, donc il pouvait facilement se permettre de faire grâce de ses honoraires, dommage la femme avait l'aire de pouvoir s'offrir des services de luxe. Point de vue très vénal je sais, mais que voulez je suis une femme vénale c'est donc normal que ça déteigne.

Une fois qu'il en eut terminé avec sa cliente, il reprit la route, étrange il n'en avait pas parler tout à l'heure où est ce qu'il pouvait bien l'amener ? C'était plutôt suspect, mais elle était loin d'avoir peur bien qu'il sache se battre, pour fuir elle était devenue experte, l'instinct de survit chez les femmes et toujours plus développer que chez les hommes c'était indéniable, et c'était tout à fait normal puisque c'était elle qui transmettait la vie. Qu'importe pour le moment ce n'était pas le genre de chose qui concernait la jeune fille, Nana était encore beaucoup trop jeune pour y penser, et vu le milieu où elle avait grandit, peu de chance pour qu'elle y pense un jour. Ils arrivèrent alors devant un immense bâtiment, rien qu'en le voyant son savait qu'il n'était pas tout blanc, il avait l'allure de bâtiment digne des grands bandits ou des riches hommes d'affaires qui avaient justement fait fortune de marnière tout à fait douteuse. En même temps quand on tape un code à plus de six chiffres, qu'on utilise la reconnaissance digital, visuel et digital … On se doute bien qu'il se passe des choses louches derrière ses portes. Sans crainte elle le suivit, peut être que c'était un guet-apens, car ça en avait tout l'air, entrainer une jeune fille naïve dans un bâtiment de la pègre … quoi de plus suspect hein ? Vous avez maintenant l'explication de la disparition des jeunes filles d'aujourd'hui, elles suivent des personnes qu'elles ne connaissaient pas alors que ce n'était pas au programme. Sachant cela elle se méfiait, prête à fuir à la moindre occasion, même si elle doit se défenestré et faire une chute de plusieurs étage. Une fois à l'intérieur du duplex, car il ne se contentait pas d'un appartement mais d'un duplex, il y avait plein de décoration de dragon dont elle ne porta aucun intérêt, il y en avait suffisamment au Mugenjô pour qu'elle s'émeut d'en voir ailleurs, en revanche les choses qui touchaient à la nouvelle technologie de pointe l'impressionnait, ça lui rappelait son enfance lorsqu'on la banchait à ce genre d'objet. Bien sûr ils étaient en meilleur états que ceux qu'elle avait connu. Ainsi c'est ça quand on est plein aux as ? Il y a de quoi vous faire tournez la tête jusqu'à ce que vos esprits soient entièrement embrouillé. Lorsqu'il lui demanda ce qu'elle voulait faire elle se retrouva toute perturber, elle ne savait pas quoi faire, c'était la première fois qu'elle était dans ce genre d'endroit il fallait la comprendre, surtout qu'en plus il ne lui avait pas dit qu'il l'emmènerait chez elle, de quoi être deux fois plus surprise
.

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Hein ? Euh … bah je sais pas, j'ai pas l'habitude de ce genre d'environnement de luxe, donc je sais pas ce qu'on peut y faire ...
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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyDim 20 Nov - 21:54

Mon Duplex.


Alors, comme vous avez dû le remarquer, Karot vivait dans un Duplex, et pas petit dans son genre, c'était même tout l'inverse. Peut-être comprenez-vous mieux désormais pourquoi ce dernier avait dit à Nana que la police ne viendrait sûrement pas la chercher en ces lieux ? Et puis, ne nous mentons pas, vous devez bien le savoir non ? Que les grandes Familles Mafieuses travaillaient avec la police, c'était un peu pareil pour la Famille du jeune homme qui était aussi Mafieuse de toute évidence, bien que ce dernier ne le savait pas par expérience mais par ce qu'on lui avait dit. En effet, le travail avec la Police n'intéressait guère le jeune homme et il acceptait volontiers d'agir comme n'importe quel autre citoyen... Sauf que la Police elle n'acceptait pas qu'il soit un simple citoyen, comme si ils avaient trop peur, ils demandaient parfois un pourcentage lorsqu'une transaction s'était bien déroulée grâce à eux mais bon... Tous savaient que si la réponse donné par les Yakuzas était négative, les Forces de l'Ordre n'insisteraient pas, à part peut-être les plus zélés d'entre eux. Enfin, c'était surtout parce que lorsqu'ils demandaient des pourcentages, c'était de l'argent en plus des pots-de-vins que leur offrait déjà la famille Mafieuse, alors vous conviendrez que c'était un peu abusif non ? Bref... Karot savait que ça s'était toujours plus ou moins passé ainsi dans sa Famille et dans toutes les autres mais pour le moment il ne s'occupait que de son domaine de prédilection, la récupération car c'était ce à quoi il aspirait désormais et pour longtemps.

Bref, malgré tout cela, soyons francs. Vu qu'il venait à peine de commencer la récupération, il n'aurait jamais pu s'offrir cela grâce à ce métier et puis... Il n'aurait surtout jamais pu monter un tel Duplex, bien qu'il n'en était pas l'architecte du tout, sans attirer l'attention et surtout payer d'énormes taxes, qu'il ne payait pas naturellement. Mais bon, peut-être serez-vous intéressés par les différents composants de ce Duplex ? A commencer par son nombre d'étages ? Premièrement, il y avait un Parking Souterrain dont l'accès était bien entendu sécurisé, ensuite le Duplex était composé de 6 étages et d'un septième étage faisant office de terrasse panoramique. Karot n'en avait pas demandé tant, il n'était pas du genre à avoir un caprice de sale gosse de riche, ce n'était pas du tout son délire si vous voyez un peu le tableau. Ensuite, pour détailler un petit plus, les deux premiers étages étaient faits pour le travail de récupérateur, au premier étage, on accueillait les personnes qui deviendraient bien vite des clients et qui avaient donc besoin des services de Karot, vu qu'il était encore seul pour le moment, au deuxième il y avait les salles de réunions... A quoi servaient-elles dîtes-vous ? Eh bien, lorsqu'un client demandait de récupérer un objet plus ou moins difficile à récupérer justement, il fallait bien se concerter et émettre un plan lorsqu'on était plusieurs, ou pas d'ailleurs... Ou pas.

Vous l'aurez compris, les deux premiers étages servaient surtout à donner l'impression qu'il n'y avait rien d'illégal dans ce bâtiment, ce qui n'était pas vrai d'habitude mais qui était vrai pour le coup... Enfin pour le moment tout du moins. Bah oui, l'architecte de sa famille savait comment étaient faits les Duplex en général afin de ne pas trop attirer l'attention même si la police resterait muette quoi qu'il arrive, mais il ne savait pas que le Duplex qu'il avait crée n'avait aucun but illégal. C'était les autres infrastructures appartenant aux Ryuu qui s'occuperaient de la partie illégale. Bref, pour ce qui était du troisième étage de la demeure du jeune homme d'à peine 16 ans qu'était Karot, ce dernier était scindé en deux, il y avait d'un côté une salle de jeu et de l'autre une salle informatique où on faisait plus que de l'informatique, enfin diverses choses en somme étant donné qu'il y avait aussi un atelier et pleins de choses, vraiment... Comment ça cela n'avait rien à voir avec un quelconque univers Mafieux ? Karot voyait la vie à sa façon de toute évidence, voilà tout mais ne pensez pas qu'il ne pensait qu'à jouer. Il se disait juste que parfois, jouer était un bon moyen de se détendre. Bien que son meilleur moyen de se détendre résidait au quatrième étage qui était composé uniquement de sa salle d'entraînement... C'était l'un des endroits où il passait le plus de temps lorsqu'il était tout seul chez lui, c'était très important de s'entraîner dans sa façon de voir les choses.

Bon, et il y avait enfin les deux derniers étages qui étaient plus ou moins l'intimité de Karot... Car il y avait son salon personnel, sa cuisine, sa salle à manger, sa salle de repos et j'en passe pour ne pas vous casser le moral ou tout simplement vous saouler... Je rajouterais juste un truc qui à son utilité, Karot avait une douche personnelle à chacun des deux derniers étages. Pourquoi faire ? Demandez à l'architecte ! Je peux même vous passer son numéro si vous le désirez. Roh, en tout cas, le cinquième étage faisait office de la partie active de la maison en elle-même, oui car la maison était seulement constituée de deux étages en définitif et non de 6... Enfin 3 avec la terrasse qui comptait comme le septième étage et qu'il oubliait tout le temps de compter. Et le dernier étage, avant la terrasse vous l'aurez compris, constituait la chambre à coucher du jeune homme ou plutôt son espace détente tranquille et calme, sans bruit contrairement à la détente de la salle de jeu. Pour tout vous avouer, le jeune homme se sentait parfois un peu trop... Enfin qu'il avait un peu trop... D'espace voilà. Il n'avait pas besoin de temps, il vivait dans un petit temple à la base, et maintenant il se retrouvait dans un Duplex énorme... Si lui-même était parfois perdu, ce n'était pas étonnant que Nana le soit encore plus que lui, il la comprenait même plus qu'autre chose, enfin... Il avait tout de même remarqué une chose.


"Ah, je vois. Dis-moi, peut-être que je me trompe mais... Tu as l'air plutôt intéressé par tout ce qui touche à l'informatique, l'électronique, la mécanique et tous les trucs de ce genre ? Si c'est le cas, il y a sûrement une salle qui t'intéressa beaucoup ici."
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Aria Zanelli

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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyLun 21 Nov - 22:33

Une fugue, une rencontre


La vie de Karot donnait envie, on pouvait dire qu'elle faisait vraiment rêver et qu'on pouvait même facilement l'envier. Pour Nana ce n'était pas le cas, bien sûr elle se disait qu'elle aimerait bien vivre dans un endroit aussi grand, aussi luxueux, mais en y réfléchissant un peu plus elle se rendait compte qu'elle serait mal à l'aise dans un pareille endroit, elle n'y avait pas l'habitude, c'était juste une grande cage vide. Sa cage à elle avait toujours été petite et bien remplit au point qu'on ait l'impression d'y suffoquer par manque d'air mais elle s'y était accommodé avec le temps, vous savez lorsqu'on a pas le choix on finit par s'y habituer et enfin à trouver cela normal … Même si ces des choses tristes et horrible, comme quand elle était petite et qu'on testait tout un tas de chose sur son corps. Lorsque cela avait cessé, elle se sentait étrange, non pas que cela lui manquait, n'allez pas croire de pareille sottise, juste qu'elle y était tellement habitué qu'elle pensait que c'était anormal qu'on ne lui fasse aucun mal, jusqu'à ce qu'elle comprenne que finalement c'était l'inverse. Chaque sensation était différente selon la manière dont on les vit après tout, pourquoi la douleur et la peur feraient-elles exception ? Parce que se sont des sentiments négatifs ? Voyons pas d'injustice, après tout la généralité est un fait commun à tout, même si toute chose se pense unique.

Depuis toujours elle vivait dans une cage semblable à celle d'un oiseau dans une animalerie où elles sont plus petites que celles dans les parcs animaliers. Elle était née dans le lieux de vie de celui qui voulait la tuer à la naissance avec sa mère pour revendre leur cadavre à bon prix, n'oubliez pas que les bébés se vendent à prix d'or puisqu'ils meurent généralement tout de suite après la naissance à cause de maladie ou malnutrition, alors imaginer pour un gourmand le plaisir d'avoir un bambin en bonne santé à se mettre sous la dent pour déchirer et ingurgité sa chaire ? L'endroit donc de sa venue au monde était une sorte de remise, enfin on ne savait pas trop, il y avait juste plein d'objet qui serait pâlir d'envie un grand boucher, imaginez donc la tête des objets qui tapissaient les murs du lieu pittoresque. Ensuite l'endroit fut un peu meilleur, une grande salle relativement vaste, remplit d'ordinateur, de robot éventré, de câble à tire-larigot, enfin vous voyez le genre, plein d'objet très technologique, bien qu'ancien et très précaire mais qui séduiraient les collectionneurs les plus expérimenté. Puis elle partie dans les bas fonds vivre dans les taudis où tout était détruit, les maisons, enfin les habitations de fortunes étaient fabriqués les unes sur les autres, si bien que des fois lorsque l'une d'elles s'effondraient, elles tueraient souvent les personnes qui vivaient en dessous en les écrasant ou en les laissant mourir d'asphyxie car personne ne faisaient quoique se soit pour s'occuper des potentiels victimes. Oui les gens vivaient sur un tas de cadavre où de personne agonisante, enfaite si on regardait bien, dans les taudis, la moitié des matériaux qui servaient pour la construction étaient des ossements, des tonnes et des tonnes. Nous arrivons à son dernier logement, sa chambre dans le foyer d'accueil, une chambre individuel, personnelle qui était vraiment petite, même pas six mètres carré. Ça pouvait se comprendre, il fallait en faire plusieurs pour tous les locataires, sans compter les salles de bain collective, et autre pièce, allant du hall de jeu à la salle de restauration, sans oublier l'infirmerie.

Paradoxalement à cela, voyez qu'il y avait une grande liberté, étrange quand on vie dans une cage hein ? Pourtant dans un sens c'était le cas, car dans le Mugenjô il n'y avait aucune règle, tout y était possible, ou presque. Mais avouez que voir quelqu'un se transformer en homme foudre en dehors du Mugenjô c'était rare ? Tout comme les monstres qui y vivaient, ils n'existait que dans le Mugenjô et nul part ailleurs, enfin cela était compréhensible si toute fois ils n'étaient pas réel. Car oui le château de l'infini et le lieux ou le réel et l'irréel se mélange pour former un monde ou étrange et paradoxal sont des mots très régulier. Cette grande liberté d'action c'était du au faite qu'il n'y avait aucune autorité, bon il y avait bien sûr les Volts, mais ils ne pouvaient pas être partout et s'occupaient plus d'empêcher les monstres de déguster les plus faibles en les mastiquant bien pour ne pas s'étouffer. Non les petits crimes étaient permis, et c'est ceux que notre cher Nana faisait, ils n'y avaient personne pour l'arrêter, car la police ou force de l'ordre selon comment on l'appelle, n'existait pas, c'était une notion inconnue pour tout le monde. Vous pouvez alors facilement imaginez la peur qu'elle a ressentit lorsque pour la premier fort un homme des forces de l'ordre l'attrapa pour l'enfermer cette fois-ci dans une vrai cage, autrement dit une cellule de détention provisoire parce qu'elle avait voler quelque fruit à un marchant. La pauvre ne comprenait rien de ce qui lui arrivait, ni même que c'était interdit d'agir comme elle le faisait, elle avait tellement l'habitude de faire ce que bon lui semblait que tomber dans un monde où il y avait plein de règle civique l'avait totalement désorientée.

Encore aujourd'hui il y avait plein de chose qu'elle ne connaissait pas du monde réel, si toute fois il l'était, d'ailleurs les transports en commun étaient sa bête noir, elle n'y comprenait rien, pourtant elle adorait les trains, allez savoir pourquoi ces choses mécaniques l'émerveillait, encore plus que les automobiles et les avions. La principale raison du faite qu'elle ne les aimaient pas, c'est qu'elle n'avait jamais d'argent pour payer le trajet, du coup elle ne pouvait pas y aller, car au Japon fraudé n'était même pas envisageable vu le nombre de contrôleur qui surveillait … à la rigueur si vous êtes l'homme invisible et encore ! De plus avec trente million d'habitant imaginer le monde dans les transports … même les sardines misent en boite on plus d'espace pour respirer ! Ce genre de vision l'effrayait bien trop, car coincé entre les lycéens et les businessman, elle n'avait aucune issue de secours et si elle n'en a pas, elle prend peur. Total ne pouvant prendre lesdits moyens de locomotions public, elle préférait ce balader en trottinette, en vélo mais surtout avec les rollers qu'elle s'était elle même fabriqué, des roller de pointe, encore plus puissant que des rollers agressifs. Remarquez que son vélo et sa trottinette aussi avaient été fabriquer entièrement par ses soins, bah oui hein rappelez vous, elle aime fabriquer des objets, c'est sa grande passion.

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Oui j'aime beaucoup, ça me rend nostalgique … Tu en as d'autre ?
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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyMar 22 Nov - 15:04

C'est étrange...


Il fallait dire les choses franchement dans ce monde et vous devriez le savoir non ? Karot n'était pas triste dans le monde dans lequel il vivait... Il avait énormément de chance du point de vue de beaucoup de personnes et il était conscient du fait que c'était vrai dans beaucoup de sens. Pas seulement parce qu'il était riche, qu'il pouvait s'offrir ce qu'il voulait, qu'il travaillait avec la police et qu'il n'avait donc pas à s'inquiéter d'eux pour quoi que ce soit... Ni même parce qu'il vivait dans un Duplex lui permettant alors d'avoir un espace de vie immense et une diversité très surprenante. Tout cela était fort avantageux et il en était conscient mais parfois... Il aspirait à une vie un peu plus calme... Dans le sens où, il venait d'effectuer une transition des plus étonnantes pour beaucoup de personnes, il était un peu dur de se faire à un duplex d'une telle taille lorsqu'on avait toujours vécu dans un temple, même si ce dernier n'était pas minuscule et surtout.. Avant de vouloir devenir Récupérateur et de prendre son envol, le jeune Karot avait toujours vécu très proche de la nature et il était maintenant en pleine zone urbaine bien qu'il ne se trouvait pas trop loin du parc qui pouvait offrir une sorte de nature...Mais elle était si artificielle par rapport à celle dans laquelle le jeune homme avait vécu, par rapport à la nature sauvage.

Le jeune homme était toujours souriant et cela était sûrement l'une des premières choses que l'on remarquait chez ce dernier mais... Malgré le fait qu'un tel sourire permanent pouvait sembler être une ridicule façade pour cacher toute la douleur qu'il avait en lui, c'était loin d'être le cas en fait. Lorsque le jeune homme souriait, c'était pour de vrai, Karot ne se forçait pas à sourire pour faire plaisir aux gens ni même pour les rassurer. Il était dans un système un peu plus subtile que cette simple hypocrisie consistant à rassurer ceux qui nous entouraient afin d'éviter les questions, les explications, les sermons et j'en passe pour ne pas vous faire une trop grande liste, ce qui serait inutile n'est-ce pas ? En fait, Karot avait toujours eu une âme de leader pour ceux qui ne seraient pas au courant, c'était peut-être pour cela que son père voulait que ce soit lui qui hérite de la Famille... Et peut-être aussi parce que le petit frère de son père était décédé quelques années avant la naissance du jeune homme qu'était Karot. Comment ? Peut-être valait-il mieux taire les détails, c'était une histoire liée à la Mafia comme vous vous en doutez sûrement et... Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de vous faire un dessin, si ? De toute façon, Karot n'en savait pas plus, c'était bien trop dur pour son père d'en parler, c'était normal après tout.

Les principaux desseins du jeune Yakuza qu'était Karot étaient d'être le meilleur récupérateur possible, pas forcément le meilleur du circuit, juste d'être capable de donner le meilleur de lui-même à chacune de ses missions. De plus, il avait une énorme envie de voyager à travers le monde, il savait que ce dernier était plein de mystères et il voulait découvrir tous ces mystères. Il ne voulait pas rester cantonné au Japon, ni à Shinjuku même si il affectionnait plus que tout cette ville et ce pays. Il devait se faire une expérience subjective de la vie tout en restant objectif même si cela peut paraître bizarre et... Le seul moyen d'y arriver était de faire en sorte d'avoir son propre point de vue tout en prenant en compte celui de la société même si ces derniers divergeaient. Bon, de toute façon, la vision de la vie de Karot était de base très étrange, et ce n'était pas l'expérience qui changerait quelque chose à la bizarrerie de celle-ci vous vous en doutez bien, ou si ce n'est pas le cas, je vous l'affirme désormais. Il n'était pas utopiste mais il était vrai qu'il s'approchait un peu de l'idéalisme, chose qui était un peu paradoxale lorsqu'on savait qu'il était le fils d'une des plus grandes Famille de Yakuza existante, si ce n'était pas la plus grande et puissante d'ailleurs. Et quand on savait que c'était de sa façon de diriger dont allait dépendre le futur de sa famille et sa place dans le monde mafieux.

En définitif, Karot se demandait si son cadre de vie était aussi idyllique qu'il en avait l'air et il ne trouvait pas vraiment de réponse à cette question. Tout était une question de point de vue, sans avoir à se plaindre de cette dernière, on ne pouvait pas non plus dire que c'était la vie parfaite. La vie parfaite pour Karot, ce serait celle qu'il aurait lui-même choisi sans que personne ne lui aie dicté sa ligne de conduite. Des fois, Karot se disait que la vie devait sûrement être mieux avant, mais seulement sur certains aspects, pas tous bien entendu, lesquels ? Il ne serait capable de vous le dire présentement mais parfois il y pensait comme ça, sans réellement savoir pourquoi. Alors comme ça, Nana était nostalgique quand elle faisait de la mécanique, de l'électronique ou de l'informatique ? Il y avait sûrement une raison à cela mais il n'était peut-être pas encore temps de lui demander ? Quoi que... Bref, pour le moment, il lui fit signe de la suivre et l'emmena au niveau de la salle informatique, au troisième étage vous vous souvenez ? Une fois qu'ils furent arriver dans celle-ci, il regarda Nana avec un sourire pendant quelques secondes. Oui il allait parler, non il ne cherchait pas ses mots. Il s'était juste perdu une très courte durée dans certaines pensées, il était souvent dans la lune diraient certaines personnes mais ce n'était pas exactement vrai en réalité.


"Voilà nous y sommes. Bon, je suppose que tu l'auras deviné mais je suis un Yakuza bien que je m'intéresse beaucoup plus au métier de Récupérateur. Je tenais juste à te le dire pour être sincère et qu'il n'y ai aucune ambiguïté, aucune méfiance quoi. Dis-moi, d'où viens-tu toi ?"
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Aria Zanelli

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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyMer 23 Nov - 8:39

Une fugue, une rencontre



Nana ne s'était jamais plein de sa condition de vie, bien sûr elle aurait souvent profiter que des choses n'arrivent pas, et elle avait déjà penser à se laisser mourir, mais elle ne se disait jamais qu'elle aurait pu avoir une vie meilleur ou une vie pire, pour elle toutes les vies étaient pareille et elle prenait ce qui lui arrivait pour argent comptant. Bah oui rappelez vous, c'est un ange qui vit d'air pur et d'eau fraiche, elle était très simple et ne demandait jamais rien, elle se laisser porter par le courant de la vie c'est tout, restant toujours fidèle à elle même en étant très nature. Tout cela peut vous semblez banale, ridicule ou même attendrissant mais en faite tout cela est le reflet d'une vie sans saveur, sans la moindre ambition car sa vision du monde était totalement déformer à la base qu'elle n'y portait aucun grand intérêt, elle vivait c'est tout. Bon c'est vrai qu'elle ne connaissait rien ce de monde, il est donc tout à fait normal que malgré son jeune âge elle n'ait pas les mêmes rêve que tous les autres enfants qui s'imagine déjà grand avec le métier de leur rêve mais elle non. Normal puisqu'elle ne savait pas qu'il fallait travailler pour avoir un avenir, bien sûr ils y en avaient qui travaillaient dans le Mugenjô, mais dealer et prostituer pour elle ce n'était pas vraiment des métiers de carrière, on évoluait pas dedans, ça servait juste à manger ça n'allait pas plus loin.

Imaginons cependant ce que serait la vie de la jeune fille si tout avait été différent ? Si elle avait eut le droit à une enfance normal, avec des parents aimant et non pas des êtres sanguinaires qui lui courraient après tous les jours ? Et bien déjà elle ne vivrait peut être pas au Japon, peut être que si si elle avait été cent pour cent Japonaise, mais peut être qu'elle aurait été cent pour cent Russe et qu'elle serait actuellement dans une riche villa si ce n'est un palais grâce à l'argent de son père. Sa vie serait remplit de voyage et elle fricoterait surement avec des membres de la mafia Russe quand tout les riches qui se respect là bas. Une vie de princesse, vivant dans le luxe avec le plus grand naturelle sans aucune once de prétention comme la plupart des femmes riches là bas, vivant souvent sur l'argent de leur mari, tout en les dirigeant sur le lit. Il est bien connu que les femmes sont celles qui dirigent le monde dans l'ombre, sur l'oreiller on peut tout obtenir, enfin ça notre petite Nana était bien trop jeune pour en avoir conscience, pour le moment les garçons ce n'étaient pas encore son problème, l'amour et tout ce qui s'en suit c'était trop abstrait. En revanche si dans le Mugenjô il y avait des perspective d'avenir, elle pourrait avec sa vie d'aujourd'hui envisager de devenir une grande informaticienne pour des hautes entreprise et avoir un poste ainsi bien placé avec un bon petit salaire à la clé qui serait à la hauteur de son talent et de ses responsabilités. Elle pourrait même envisager de travailler dans la mécanique, que se soit pour un petit garage ou des voitures de courses et ainsi avoir une plus grande notoriété, sinon travailler dans la robotique et avoir une notoriété tout aussi importante, car ne dit-on pas que l'avenir se trouve dans la robotique ? Bientôt l'homme n'existera plus, la place sera aux robots, Pluto était presque le premier de cette nouvelle espèce ; un androïde avec une personnalité propre.

Mais peut importe tout cela, le sourire illuminait toujours son doux visage d'ange quoiqu'il arrive, même si c'était la fin du monde elle réussirait à trouver au final une raison de sourire sans jamais ce forcé, le dessin que faisait ces lèvres étaient toujours sincères et honnête. C'était en partie ce qui faisait son charme et qui aidait à son charisme, rassemblant ainsi les gens autour d'elle comme une nuée d'admirateur ou de fidèle qui voyait en elle la vierge Marie. C'est en partie grâce à ce charisme qu'elle avait réussit à monter son propre gang, bien sûr elle n'avait pas vraiment la carrure d'un chef, elle savait se débrouiller en tant que tel mais c'était tout, cependant elle n'était pas du genre à avoir quelqu'un au dessus d'elle. D'ailleurs dans le monde tout le monde voulait être le chef, personne ne voulait être le second c'était là tout égocentrisme et la mégalomanie de la race humaine plongeant le monde dans la déchéance, s'entre déchirant les uns les autres. En faite la petite n'était pas négative, elle était plutôt positive, une simple fleur dans un désert aride pourrait faire son bonheur pour longtemps c'est vous dire, avec tout ça vous comprenez mieux pourquoi elle porte ce surnom d'ange pure. Quand bien même elle était chef de gang et qu'elle ait fait les quatre cent coup, tuant involontairement quelqu'un, elle portait sur son dos deux immenses ailes de délicatesse.

C'est étrange de penser ainsi quand on vit dans un lieu aussi malsain que le château infini, mais pour quelqu'un d'aussi pure voir sensible, c'est ce genre de pensé qui vous permette de tenir debout dans les situations difficiles. Enfin je vous cache pas que quand elle a voulu disparaître de la surface de ce monde, fut lorsque tous ses amis se transformèrent en un tas de cadavre. Pour survivre et s'occuper l'esprit, car si on ne pense qu'aux malheurs et au triste destin qui vous attends, on ne tient pas longtemps au Mugenjô, Nana s'était mise à la mécanique, traumatisé par tout ce qui y touchait inconsciemment elle ne pouvait plus vivre sans, c'était comme une partie d'elle même et ce n'est pas peu dire … Karot lui fit signe de le suivre, décidément il ne faisait que des signes pour qu'on le suive, elle aurait préféré des mots mais bon on peut pas tout avoir dans la vie, juste que pour elle ça faisait plus humain. Après l'avoir donc suivit, ils se retrouvèrent dans une salle d'informatique, elle lui jeta un regard puis regarda la salle et le regarda à nouveau pour encore ensuite regarder la salle, surprise de voir une telle salle. Puis le moment de silence fut briser par le jeune garçon qui lui avoua qu'il était Yakuza, bien qu'elle s'en doutait vu l'allure de l'immeuble, avant de lui demander d'où elle venait. Un petit air triste sur le visage, le regard perdu sur le sol, se rappelant de sa vie là bas et de l'enfer que s'en était. Le silence s'installa donc encore une fois pendant un bon moment, ne se rendant pas compte du temps qu'elle mettait à revoir toute cet horreur en image, enfin fort heureusement le temps dans l'esprit et plus rapide que le temps réel, et sans changer son point de regard elle commença à lui répondre avant de se remettre à le regard avec un sourire ce disant que c'était le passé.

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Moi … Je viens du Mugenjô, tu dois surement connaître vu qu'on le voit de tout Shinjukû ! Oh faite je m'en doutais que tu étais un Yakuza, je connais pas grand chose au monde extérieur mais vu la tête du bâtiment, je sais que seuls les grands nom de la pègre peuvent s'offrir ce genre de chose.
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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyMer 23 Nov - 18:44

C'est vrai... Je grandis.


Karot se souvenait encore de la période où il vivait avec ses parents et son grand-père, cela ne datait pas de si longtemps en fin de compte, quelques semaines tout au plus, si ce n'était pas une seule et unique semaine d'ailleurs. Pourquoi parlait-il cela ? Il avait un peu du mal à prendre des habitudes différentes de celles qu'il avait lorsqu'il vivait avec ses parents et son grand-père. Par exemple, pour les entraînements, ils ne parlaient pas beaucoup et communiquaient plus par signes que par autres choses, ce n'était pas qu'ils n'aimaient pas dialoguer les uns avec les autres hein, bien au contraire d'ailleurs ne vous méprenez pas. C'était simplement que le père de Karot, encore une fois, avait décidé de bien former son fils et de lui apprendre certaines choses telles que la discrétion qui passait justement par ces signes que le jeune homme répétait si souvent maintenant et par bien diverses autres choses. Mais maintenant qu'il avait acquis sa propre indépendance, il n'était plus nécessaire pour lui de faire tout cela, enfin... Il n'y avait que certaines situations qui nécessitaient qu'il agisse ainsi, en aucun cas il avait besoin d'agir ainsi dans toutes les situations possibles et imaginables. Il en avait conscience mais on ne se débarrassait pas aussi facilement d'habitudes vieilles de douze bonnes années d'apprentissage.

Nana avait l'air d'être assez surprise par la salle dans laquelle le jeune Yakuza qu'était Karot l'avait emmené, et il fallait avouer qu'il y avait plutôt de quoi et cela se voyait au premier coup d'oeil. Premièrement peut-être par la taille de la salle qui était plutôt imposante pour ne pas dire carrément gigantesque comparée à certaines autres salles contenues dans d'autres endroits. On aurait pu croire que des expériences étaient réalisées en ces lieux mais ce n'était pas le cas, du moins pas pour le moment même si le jeune homme avait déjà pensé à cela. Mais allez trouver des ingénieurs capable de répondre aux attentes du jeune homme, il avait déjà quelques idées de projets en tête mais il se dit qu'il ne valait peut-être mieux pas en parler pour le moment, oui, il valait mieux qu'il garde cela pour lui-même pour le moment. Il y avait des choses auxquelles il valait mieux ne même pas penser pour être sûr que ces dernières se passent sans trop de problèmes et surtout selon le plan qui n'était pas encore totalement développé. Le jeune homme était d'ailleurs lui-même en train d'investir dans plusieurs choses, des composants pour effectuer de la robotique, de la mécanique un peu plus avancée et il avait déjà les systèmes informatiques les plus avancés du monde plus ou moins inspirés de ceux du Pentagone. Rien de véritablement impressionnant pour le jeune homme, mais ça l'était non ?

De toute évidence, ce n'était pas chose facile pour Nana de repenser à son passé ce qui confirmait un peu ce que pensait le jeune homme de prime abord. Elle n'avait pas dû avoir une enfance si facile qu'aurait pu le laisser croire le sourire omniprésent qui se trouvait sur son visage. Il semblait même que c'était plus ou moins le contraire mais que c'était simplement la jeune femme qui était très forte et courageuse et surtout... Très positive, sûrement autant que l'était Karot si ce n'était plus d'ailleurs. Le jeune homme était très courageux dans le sens où il était capable d'affronter n'importe quel danger et de donner sa vie pour quelque chose d'important pour lui, l'amitié par exemple mais... Lui qui n'avait jamais connu la misère, pouvait-il vraiment dire qu'il était courageux ? Qu'il savait ce qu'était le véritable courage ? Il avait une réponse à cela mais il ne savait pas vraiment si cette dernière était convenable... Il s'en contentait pour le moment mais il devait trouver une meilleure réponse à l'avenir, à moins que ce ne soit la meilleure en réalité ? Quelle était-elle demandez-vous ? C'était la thèse selon laquelle chaque personne avait un courage différent car personne ne vivait la même chose alors... On ne pouvait pas avoir un courage pouvant être qualifié de parfaitement polyvalent, à part si on était l'Homme le moins chanceux de la planète et qu'il nous arrivait toutes les misères du monde, ce qui était très peu probable vous l'avouerez.

Après un petit moment de silence et de tristesse apparente, la jeune femme finit par répondre au jeune Karot avec le même sourire qu'elle avait la première fois où il avait parlé à cette dernière, quelques heures auparavant à peine. Elle était vraiment forte, et le Yakuza en fut encore plus assuré lorsqu'elle lui dit qu'elle venait du Mugenjô sans pour autant perdre son sourire. Quand on savait l'horreur qui régnait en ces lieux, surtout dans les bas-fonds de ceux-ci quoi que... Tout le château de l'infini était une véritable spirale d'horreur. Le jeune homme y avait jeté un œil une fois avec son père, tout en restant collé à lui selon ses consignes si il ne voulait pas mourir et... Il avait quand même failli mourir malgré cela, son père avait tué 14 personnes ce jour-là et Karot n'avait jamais remis les pieds dans cet endroit, que ce soit accompagné ou non. Il n'avait pas peur mais... Il avait du mal à supporter de voir toutes ces horreurs tout en sachant qu'il ne pouvait rien y faire. Il était vrai qu'il n'y avait que les grands noms de la Mafia qui pouvaient se permettre de telles folies, et sûrement les grands politiciens mais... Quelle différence en réalité hein ? La pègre, la politique... Il était même possible que le plus saint des deux ne soit pas celui que l'on croyait. Karot regarda Nana avec un grand sourire.


"Je vois... On dirait que tu tiens à y retourner pour certaines raisons non ? Et tu as bien raison quant à la pègre. Tu sais qu'il va bientôt faire nuit ? Je sais que tu n'es pas une gamine mais bon, peut-être voudrais-tu rester ici ce soir ou que je t'emmène quelque part ?"
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Aria Zanelli

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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyMer 23 Nov - 20:31

Une fugue, une rencontre


Dans son foyer d'accueil quand elle était dans sa chambre Nana ne savait jamais quoi faire, faut dire qu'il n'y avait pas grand chose à faire, ou plus exactement rien à faire. Elle s'allongeait donc dans son lit durant des heures à fixer le plafond en pensant à rien, faisant le vide complet dans son esprit. Dans le Mugenjô elle n'avait jamais pu prendre le temps de se reposer et de ne rien faire comme elle le faisait là. Au début ça lui allait, elle pouvait rattraper tout son retard de sommeil mais après elle s'était vite lassée, elle s'ennuyait à mourir car elle n'avait pas l'habitude de rester à rien faire aussi longtemps, pour être vulgaire elle trouvait ça chiant. Désolé du terme pour les âmes sensibles. Malheureusement il n'y avait rien d'autre à faire dans cette chambre que ça, elle n'avait même pas le droit de ramener les métaux qu'elle trouvait dans la rue, car les directeurs pensaient qu'elle les avait volé ou trouvaient ça trop sale et trop dangereux pour que ça rentre à l'entre à l'intérieur du foyer. À force cela la déprimait, elle voulait fuir mais pour aller où ? Quoiqu'elle fasse elle savait que la police lui tomberait dessus parce que le foyer lancerait un avis de recherche. Aujourd'hui encore ce fut possible puisqu'elle quittait le foyer, c'était donc plus simple pour fuir, mais quand elle y était encore c'était une toute autre histoire. La vie dure du Mugenjô lui manquait, c'était vous dire à quel point elle n'en pouvait plus, elle qui était super active à bouger partout, à fabriquer tout un tas de chose utile ou inutile à la vitesse de l'éclaire. Cette chambre lui donnait la désagréable sensation d'être un oiseau aux ailes cassés enfermé dans une cage, alors que cette cage était censé être une nouvelle maison pour elle, une maison pour tous les jeunes sans logement qui avait besoin d'un toit sécurisé pour être à l'abri de la rue.

Du coup pour palier ce manque d'activité, elle était redevenu un peu celle qu'elle était au Mugenjô, soit à la tête d'un gang. Cette décision avait été aussi prise également à cause du racisme qu'elle subissait dans sa classe pour sa couleur de cheveux qui avait réveillé la rage qu'elle avait en elle enfermé. En devenant une sorte de rebelle à l'école, elle avait séduit plein de fille qui voyait en elle un modèle et qui avait décider de la suivre dans son mouvement anarchique, suite à cela un petit groupe de fille c'était formé au sein de l'école. Lorsqu'elle avait commencé elle n'aurait jamais pensé que des personnes venant de l'extérieur la suivrait dans son mouvement, mais puisque ce fut le cas elle avait décider de les prendre sous ses ailes et de leur apprendre à se défendre si ce n'est à ce battre, jusqu'à ce que le groupe devient un vrai groupe de Yankee féminin. Ensuite elle passait son temps dans la rue, à se battre avec d'autre chef de gang, au début c'était que des guerres entre gang féminin jusqu'à ce qu'elle devienne la chef de gang de fille de tout le quartier, puis elle étendit son pouvoir, si on pouvait dire cela bien que ce ne soit pas exactement le cas, à d'autre quartier de Tokyo. Puis lorsqu'elle avait réussit à prendre plusieurs petit quartier, les gang masculins voyant qu'une petite métisse prenait trop de notoriété venaient l'attaquer, du coup de plus grosse guerre de gang se formait, et c'est ainsi qu'elle fut juger trop violente pour rester dans son foyer d'accueil car elle était de mauvaise influence et que c'était néfaste pour les autres étudiants qui préféraient la suivre plutôt que suivre les cours.

C'était dure de s'adapter à la vie à l'extérieur du château de l'infini, parce qu'il est toujours difficile de changer quatorze ans de vie, c'était presque impossible, seul le temps le pouvait. Enfin maintenant la question c'est qu'est ce qu'elle allait faire de sa vie lorsqu'elle y retournerait ? Déjà ce qui était sûr et certain c'est qu'elle ferait tout pour retourner voir son ami de toujours, son ange gardien Pluto. Le plus difficile serait de le rejoindre, mais également savoir ce qu'elle ferait après l'avoir retrouvé. Elle avait bien une petite idée, se remettre à fabriquer tout plein d'objet, notamment amélioré sa trottinette et transformer ses rollers en roller agressif de pointe pour fuir plus vite les monstre du Mugenjô. Enfin surtout la chose la plus importante qu'elle pourrait faire là bas c'est d'essayer de percer les secrets du château, MakubeX, le petit génie de la zone basse avait déjà réussit à comprendre à moitié le système des archives et d'ainsi modifier la réalité à sa guise, il fallait vraiment qu'elle rattrape son niveau. Avec sa capacité à se connecter à toutes les choses informatiques ça ne devrait pas être trop dure pour elle, ça serait même aussi aisé que respiré. Ses deux là étaient en même temps dans un sens des êtres exceptionnel chacun à leur manière, l'une par sa capacité unique et l'autre par son existence toute particulière pour le Mugenjô.

C'est pour cela qu'en voyant la salle informatique que Karot venait de lui montrer elle était toute émerveillé, ça lui rappelait Pluto en même temps, bien qu'en réalité Pluto était l'ordinateur le plus puissant, mais pas le plus grand du monde, puisque les plus grands ordinateurs faisait une salle entière, Pluto lui était beaucoup plus particulier, et notre jeune demoiselle comptait bien le rendre encore plus unique en usant de ses outils. Peut être qu'un jour elle réussira à lui fabriquer un corps pour qu'il puisse se mouvoir au lieu de rester dans cette grande salle tout seul sans personne à qui parler, lui qui était devenu si humain. Encore faudrait-il qu'elle s'entraine pour progresser dans la construction de robotique, mais vu son talent elle finirait bien par y arriver, enfin on l'espère, n'est ce pas ? Nana regarda Karot toujours en souriant, mais elle ne comprit pas comment il avait fait pour savoir qu'elle devait y retourner, surtout qu'en vrai elle n'y tenait pas, elle devait y aller, c'était là toute la nuance du vocabulaire. De plus il lui rappelait qu'il était tard et qu'il allait bientôt faire nuit, c'est vrai que le temps passe vite, souvent elle n'en avait plus la notion c'était un véritable problème, heureusement qu'elle ne travaillait pas
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Hum … je n'y tiens pas particulièrement, mais bon. Oui c'est vrai qu'il est tard je vais pas tarder à y aller, je dois me rendre dans un vieil immeuble, dans les bas fonds de Shinjukû pas très loin du château.
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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyJeu 24 Nov - 16:57

Le Temps passe si vite..


Karot se dit avec le recul que dire qu'elle voulait y retourner n'était peut-être pas vraiment si proche de la vérité que cela... Ou si c'était le cas, il devait y avoir quelque chose qui la poussait avoir cela, soyons logiques... Qui voudrait retourner en Enfer par pur plaisir ? A part les démons peuplant ce dernier et encore... Seuls ceux de Babylone City devaient réellement se sentir bien au sein du château de l'infini et peut-être même que ce n'était pas le cas en fin de compte mais bon... Le jeune Karot ne pouvait pas le savoir ça, il n'avait pas assez d'expérience dans le Mugenjô, il n'avait même aucune pour être un peu plus précis donc... C'était un peu dur d'avoir un jugement qui pourrait être qualifié d'objectif face à ce phénomène. Il n'avait vu qu'une partie du Mugenjô après tout, comment pouvait-il se permettre de juger hein ? Et là n'était pas vraiment la question, le fait qu'un ange tel que Nana doive retourner dans cet endroit que ce soit par volonté ou par devoir... Ce n'était pas quelque chose de très rassurant même si le jeune Yakuza la connaissait à peine en définitif. Enfin, pour le moment, il ne semblait pas vraiment qu'elle avait les moyens d'y retourner, à moins qu'elle ne veuille mourir immédiatement, ce qui était aussi possible en fin de compte, si c'était pour quelque chose de très important.

Le temps était quelque chose qui semblait être des plus joueurs, enfin du point de vue de Karot en tout cas. Pour quelles raisons demandez-vous ? Parce qu'il passait beaucoup trop vite ou beaucoup trop doucement selon l'action effectuée. Pour vous donner un petit exemple très significatif et que personne ne contestera je pense, quand vous êtes au travail ou en cours... Le temps passe extrêmement doucement ne trouvez-vous pas ? Enfin, en général j'entends bien. Mais lorsque vous êtes avec de vrais amis ou en tout cas que vous vous amusez... Comme on dit, vous ne voyez pas le temps passer et il vous semble passer extrêmement vite à l'inverse de précédemment, n'est-ce pas ? Pour revenir au sujet principal, Karot n'avait pas vu le temps passer entre le moment où il avait rencontré la jeune femme qu'était Nana Abaraï et celui où il lui disait qu'il commençait à se faire tard car il semblait que la nuit allait bientôt tomber, si ce n'était pas déjà le cas d'ailleurs. Le jeune homme adorait la nuit, les astres brillaient d'une si belle manière qu'il aurait bien aimé pouvoir voler dans le ciel et observer les étoiles de beaucoup plus près, au moins autant que lorsqu'on utilisait un télescope mais jusqu'à preuve du contraire... Il n'en était pas capable. Peut-être un jour qui sait ? Bien que c'était un peu féerique à ce niveau.

Bon, Nana allait bientôt y aller d'après ce qu'elle venait de lui dire, elle ne semblait pas non plus avoir remarqué qu'il commençait à se faire tard. Dans un certain sens, cela voulait dire qu'elle ne s'était pas ennuyée avec Karot durant cette journée, ou plutôt cette parcelle de journée, c'était en tout cas ce dont le jeune homme avait l'impression mais il pouvait aussi parfaitement se tromper. Lui en tout cas, il avait été plutôt heureux de la rencontrer même si il n'en savait pas tant que ça sur elle en fin de compte, il se dit tout de même qu'il en savait déjà bien assez quand on savait qu'ils venaient à peine de se rencontrer et pour bien d'autres raisons qu'il préférait garder pour lui. A quel endroit avait rendez-vous la jeune femme exactement ? Elle allait lui dire bien entendu, elle était même sur le point de lui dire de toute évidence, à la suite du fait qu'elle devait rentrer, elle lui dit où elle devait aller. Normal non ? C'était dans un vieil immeuble dans les bas fonds de Shinjuku, pas très loin du château de l'infini d'après ce que le jeune Karot en avait compris. Eh bien, ce ne semblait pas être le top pour dormir, pas parce que c'était dans les bas fonds de Shinjuku ou même parce que c'était dans un vieil immeuble mais surtout car... C'était si proche du passé de Nana, qui n'était pas si passé que cela de toute évidence.

Le jeune homme se dit que... Malgré l'horreur qu'il régnait dans le Mugenjô, il ferait peut-être bien d'y mettre les pieds à l'occasion. Il devait voir ce qu'il en était réellement et, même si il n'avait pas la prétention de vouloir tenter de percer les secrets de ce dernier car... Tout le monde savait que le château de l'infini gardait des secrets mais tous savaient aussi à quel point ils étaient durs à percer.
Et Karot n'avait pas encore pour vocation de percer un quelconque mystère, la seule chose dans laquelle il voulait percer, c'était son métier de récupérateur qui était aussi sa passion mais ça... Je pense que vous l'avez d'ores et déjà compris non ? Si ce n'était pas le cas avant, ça devrait l'être maintenant en tout cas. Karot avait aussi quelques objectifs personnels mais vous les connaissez pour certains il me semble, vous faire toute une liste, je vous l'ai peut-être déjà dit, n'était pas une chose qui tentait le jeune homme et puis... On ne pouvait de toute façon pas tout prévoir dans la vie, vous en êtes bien conscients vous aussi non ? Bref, il fallait qu'ils se bougent pour que Nana puisse rentrer dans son chez elle provisoire, pour la nuit en gros. Karot se disait que ça ne devait pas être très facile de vivre ainsi mais dans un certain sens... Il aurait bien aimé pouvoir tenté l'expérience au moins une fois dans sa vie, celle d'être nomade mais bref... Il devait répondre à Nana pour le moment, avec son sourire habituel bien sûr.


"Je vois, je vais te raccompagner si tu veux bien ? Allons dans le Parking Souterrain. Tu préfères la moto ou la voiture ?"
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Aria Zanelli

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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyJeu 24 Nov - 23:09

Une fugue, une rencontre


Est ce qu'un jour quelqu'un pourrait changer la réalité du Mugenjô ? Réussir à en faire un endroit où il fait bon vivre pour tous les réfugiés qui y vivent ? Changer son aspect glauque à l'allure de vieux bâtiment en ruine désaffecté avant même la fin de la construction. Car c'est vrai que quand on regardait le château on se disait bien qu'il était miséreux, on se demandait comme des gens pouvaient avoir envie de s'y rendre rien qu'en le regardant. Bon ce gratte ciel avait un petit charme, mais vraiment vraiment tout petit hein ? Ça revient un peu à trouver du charme au bossu de notre Dame si vous voyez ce que je veux dire. Enfaite l'allure du Mugenjô n'avait jamais dérangé la jeune fille, au contraire, elle aimait bien, surement son côté mécanicienne qui voulait ça, ainsi elle voyait peut être ce qu'elle pourrait faire si elle devait le terminé. Le seul détail qui lui posait problème c'était le manque de végétation, il n'y avait aucune verdure là bas, s'en était triste, peut être que s'il y avait plus de nature les habitants seraient un peu plus heureux ? Naïf façon de pensé mais elle était comme ça, mais qui sait peut être qu'elle avait raison, en réussissant à planté des fleurs dans cet enfer remplit de douleur et désespoir peut être que justement, le bonheur réapparaitrait, même si ce n'était qu'un tout petit peu, c'était toujours ça de gagné. Un idylle en somme, car faire pousser des fleurs sur le béton sans âmes qui recouvrait tout le château c'était autant dire une mission impossible, surtout si on ne savait pas tricher et modeler la réalité.

Bientôt elle retournerait à l'intérieur du château, demain peut être ? Qui sait, elle même ne le savait pas vraiment, tout dépendait de sa motivation, qui il faut l'avouer n'était pas grande car lorsqu'elle essayait de se motivé, le souvenir du cimetière de ses amis venaient lui hanter l'esprit. Lorsqu'elle arriverait à son squatte pour la nuit elle aurait tout le temps d'y réfléchir, surtout que vu la façade de l'immeuble dans lequel elle irait dormir, elle risquait fortement de se sentir dans le château de l'infini, les deux avaient une allure déplorable, bien que la chambre de se soir serait surement dans un meilleur état que son taudis de fortune qu'elle avait fabriqué avec les autres enfants. D'ailleurs en parlant d'enfant est ce qu'ils en restaient encore beaucoup ? Quand elle était partie une grande partie de la population de son âge et plus jeunes avait été décimé sadiquement, mais puisqu'elle était partie depuis un petit moment déjà, est ce que de nouveaux avaient vu le jour ? Peut être même que des enfants de son âge avaient fuit l'extérieur en croyant naïvement qu'au Mugenjô ils auraient la liberté. Bah elle verra bien ce qu'il en ait lorsqu'elle y sera, on en était pas là pour le moment, et puis si elle retournait vivre à Belt Line, elle ne verrait aucun enfant de son âge, car il n'y avait personne de mineur là bas, ils n'y survivaient pas, si on devait en trouver, ça serait des restes mit en charpie ou encore dévorer par les bourreaux qui y régnaient presque en maitre. Peut être qu'elle aussi finira par servir d'amuse-gueule, vu sa faible carrure, à ses monstres.

Maintenant il lui fallait rentrer chez elle, enfin là où elle serait à l'abri pour la nuit, et pour le temps qu'elle y resterait d'ailleurs, car il n'y avait pas de limite de temps dans un squatte, c'était surement son seul point positif. Et oui le sombre rideau qu'on appelait la nuit commençait déjà à tomber sur le quartier et sonnait alors l'heure de son départ, bien qu'elle ne s'ennuyait pas et qu'elle découvrait des choses nouvelles, elle ne pouvait abusé de son hospitalité, sans compter qu'elle ne le connaissait pas assez pour pouvoir rester passer la nuit chez lui et ainsi en découvrir d'avantage. Nana ne connaissait pas trop l'endroit où elle allait aller, elle l'avait bien vu quelque fois de loin, et savait que des prostituées y vivaient, des Yakuza s'y rendaient aussi pour du trafic de temps en temps, mais il ne s'y passait jamais rien de dangereux pour ne pas attirer l'attention. Il fallait savoir instaurer des zones neutre où ils étaient interdit de faire le moindre mal pour pouvoir faire ses petites affaires en douce sans que personne ne le sache. Bon bien sûr vu l'allure louche de du bâtiment, tout le monde savait qu'il s'y passait des choses étranges sans jamais savoir de quoi il s'agissait ou encore des preuves. Elle pouvait donc dormir sur ses deux oreilles, au moins là bas elle serait toujours plus en sécurité que dans le Mugenjô, peut être même qu'au final elle s'y plaira et qu'elle en fera son repère qui sait on ne peut jamais être sur de rien dans ce monde, c'est ce qui le rendait dans un sens attrayant.

Puisqu'il était justement l'heure des aux revoir et Karot lui proposa alors de la raccompagner, pourquoi après tout, elle n'avait rien à perdre en rentrant avec lui ? Et puis s'il avait voulu l'agresser il aurait pu le faire depuis longtemps, surtout chez lui dans un duplex isolé plutôt que dehors à la vue de tous. Ah moins que se ne soit un exhibitionniste qui aime avoir un public mais là c'est une toute autre histoire et elle doutait qu'il soit comme ça, sinon il aurait pu le faire sur la place de l'église, ça aurait été beaucoup plus simple en plus d'être symbolique. Il lui laissa même le choix entre moto et voiture, elle aurait bien répondu quelque chose, mais en tant que mécanicienne, bien que pas professionnelle, elle connaissait quelque règle sur la conduite et elle savait pertinemment qu'il n'avait pas l'âge requit pour cela, si encore on était aux États-Unis, mais bon ce n'était pas le cas. Nana ne pouvait donc décemment pas répondre à sa question, elle aimait bien trop ses petites machines pour leur faire faire quelque chose contre la loi, question d'éthique, surtout qu'en plus si cela devait être en moto elle aurait préféré conduite, si toute fois elle avait l'age pour le faire. Cependant elle lui répondit quand même, toujours avec son tendre sourires sur ses lèvres.

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Je veux bien, par contre je préfère encore y aller à pied, si tu n'y vois pas d'inconvénient.
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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyLun 28 Nov - 15:29

Ce fut une bonne journée.


Karot n'avait certes pas l'âge pour conduire une moto ou même une voiture mais voyez-vous... Sachant qu'il était un Yakuza, vous devez sûrement avoir une idée de la fin de ma phrase non ? Même si il n'avait pas l'âge, ce n'était pas pour autant que l'état ne lui avait pas remis son permis de conduire, qu'il soit de moto ou de voiture d'ailleurs. Qu'est-ce que la police aurait bien pu lui dire de toute façon hein ? Ils travaillaient avec sa famille et Karot savait qu'il ne serait favorable pour aucuns des deux partis de se séparer à cause d'une histoire futile de permis. Beaucoup de choses étaient futiles dans ces cas-là, et il n'était jamais utile d'aller jusqu'à se séparer même en cas de légers désaccords. La police y gagnait dans plusieurs domaines car les Yakuza les finançaient dans une certaine mesure avec tous les pots-de-vins qu'ils leur donnaient et aussi car parfois ils leur donnaient des indices sur certaines affaires que la police n'était pas capable de trouver par elle-même. Du côté des Yakuza, ils y trouvaient aussi leur plaisir et leurs avantages car ils pouvaient faire toutes les choses illégales qu'ils désiraient sans être inquiétés par quoi que ce soit, seul le meurtre de personnes importantes était proscrit, encore que... Enfin, il y avait sûrement d'autres choses proscrites comme parler de cet arrangement à n'importe qui mais bon... Karot n'en connaissait pas la liste pour être franc avec vous.

Karot avait grandement envie de faire un petit tour aux États-Unis pour voir comment le soi-disant pays de la liberté était en définitif, il avait entendu beaucoup de rumeurs sur ce pays, qu'elles soient positives ou négatives, il était assez compliqué de croire à une seule de ces rumeurs car, l'avis sur un pays était très subjectif et si certaines personnes auraient trouvé la vie de Karot des plus superficielles par exemple, ce ne serait peut-être pas le cas pour d'autres personnes, vous voyez ce que je veux dire ? Le jeune homme n'avait pas un avis fixe sur sa propre vie, il avait de la chance et il en était conscient, il se le répétait même souvent mais... Ce qu'il voulait maintenant, c'était que cette chance, ce soit lui qui la provoque, et si ce n'était pas encore possible maintenant, il ferait tout pour que ce le soit à l'avenir. Le jeune homme savait aussi qu'il serait sûrement amené un jour ou l'autre à se diriger vers d'autres pays que ce soit pour son travail légal ou illégal. Bah, même si bien souvent, les objets qui devaient être récupérés se trouvaient encore à Shinjuku ou encore au Japon, cela ne signifiait pas que la marchandise ne pouvait pas être transféré dans un pays d'Europe ou même d'Amérique justement. Les trois faisant parti de ce qu'on nommait la Triade ce ne serait pas étonnant en fin de compte.

Le jeune homme sourit lorsque la jeune demoiselle lui dit qu'elle préférait y aller à pied plutôt qu'en voiture ou même en moto, il comprenait parfaitement sa décision et il trouvait même que dans un certain sens, c'était la meilleure qu'elle aurait pu prendre. Le jeune homme qu'était Karot aimait bien marcher même si il devait avouer qu'avoir toutes ces motos et toutes ces voitures qui se trouvaient dans le Parking souterrain l'aidait bien dans bien des domaines. Ce qui était utile n'était pas forcément ce qui était nécessaire comme il se plaisait souvent à le dire. Bien sûr, il aimait aussi se faire des petits plaisirs mais, contrairement à ce qu'on pourrait penser en voyant son niveau de vie et de richesse, il ne se faisait pas des cadeaux qu'on pourrait qualifier de riches, il aimait bien rester simple ou alors plutôt se pencher sur des collections antiques comme sa fameuse montre à gousset. D'ailleurs, il fallait qu'il continue à rechercher ces quelques objets antiques, il commençait à vraiment être passionné par ces derniers, au début c'était juste une sorte de minuscule attraction mais là ça devenait de plus en plus important dans son être, alors il fallait bien qu'il s'y mette puisqu'il semblait qu'il avait quelques penchants de collectionneur, ou peut-être était-ce juste une impression qui reflétait quelque chose de bien plus profond.

Karot se disait avec le recul qu'il était vraiment injuste qu'il possède tant de choses sans les avoir réellement mérité alors que des personnes vivaient de manière vraiment précaire pour ne pas dire totalement horrible et inhumaine. Cependant, faisant parti de la pègre même si il ne l'avait pas choisi, et n'allait pas croire qu'il n'était pas fier de faire partie de cet organisme Mafieux que constituaient les Yakuza, bien au contraire. Qui ne serait pas fier d'être Yakuza hein ? Enfin, si le jeune homme en était fier, c'était surtout parce que même si il était membre de la pègre, il avait tout de même ses propres choix à faire, on ne lui dictait pas grand chose pour ne pas dire rien en définitif, il était totalement indépendant, ou presque. Mais comme je le disais précédemment, comme Karot faisait parti de la Mafia Japonaise, il savait bien qu'il était impossible que tout le monde soit égal, l'égalité, la liberté et tous ces principes étaient illusoires, ils arrangeaient ceux qui les avaient écrits, la haute société bien souvent et ce n'était pas réellement secret, tout comme le fait que la police travaillait avec les Yakuza, les citoyens fermaient les yeux sur tout. Avaient-ils seulement le choix ? Je suppose que vous avez la réponse, et si ce n'était pas le cas, peut-être êtes-vous en train d'y réfléchir ? Je vous le conseille en tout cas. Bref, Karot souriait toujours vous vous en douterez bien.


"Cela ne me dérange aucunement, allons-y alors. J'espère que tu ne t'es pas trop ennuyée aujourd'hui."
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Aria Zanelli

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MessageSujet: Re: une fugue, une rencontre [Pv : Karot] une fugue, une rencontre [Pv : Karot] EmptyLun 28 Nov - 23:22

Une fugue, une rencontre


Par amour des machines la jeune fille ne pouvait allez contre les lois qui les dirigeaient, et avait un grand respect pour ses dernières. Il lui était donc inconcevable de monter en voiture avec quelqu'un qui avait illégalement le permis ou qui ne l'avait pas, aux choix. Pourtant elle aussi savait conduire des deux roues, mais quand on en répare, c'est presque obligé non ? Après tout il faut bien tester si elle est bien en état de marche après avoir bidouillé tous les composants. Fallait vraiment qu'elle s'entraine encore plus à le faire et qu'elle se mette à fond dans ce métier, mécanicienne c'était vraiment le métier fait pour elle, malheureusement il n'y a pas d'embauche pour une gamine sortit des bas fonds du Mugenjô qui n'a même pas de carte d'identité … Elle aurait juste l'air d'une clandestine étrangère qui s'était échoué sur les larges de la mer du Japon pour fuir son pays d'origine avant de se faire rattrapé par les autorités locale et être rapatrier dans un pays qui serait supposé être le sien, alors que le siens était le Japon même. Ah il n'y avait pas plus grand problème que l'émigration surtout pour un pays aussi fermé que le Japon, mais justement c'est parce qu'il était si fermé aux étrangers qu'il n'avait pas autant de problème que d'autre pays Européen, mais surtout des États-Unis, pays des rêves enfin surtout du rêve Américain, qui n'en avait pas entendu parlé ?

En parlant d'Amérique, ce pays doit bien vous évoquez quelque petite choses hors mis son rêve non ? Cinéma, Star, le mythique Coca Cola ou le Hamburger et ses frittes, les jeans, les casquettes, ou encore les grands nom de ville tel que Los-Angeles, Chicago, Hollywood, New York … sans compter les grands monuments tel que la Statue de la Liberté, le pont de Brooklyn … (non je ne connais personne là bas …) Mais pour la jeune fille c'était surtout les voitures américaines qu'elle voyait, vous voyez le genre de vieille mustang où vous mettez quatre personne à l'avant facilement comme si c'était un bus? Et encore je vous parle pas de la taille des 4x4 … des monstres ! Ils font la taille de deux bus presque, autant vous dire qu'une voiture ce fait réduire en miette si une telle bête lui passe dessus, comme si c'était un tank qui l'avait fait ! Ce n'était pas les États-Unis qui l'intéressait, non elle c'est Cuba qui l'intéressait, non pas pour sa drogue, bien que vu qu'elle en consommait en ce moment ça l'intéressait un peu, mais c'est surtout parce que ce pays pauvre était connus pour être le musée vivant des voitures américaines. Et oui mes amis, car aucun autre pays ne pouvait se permettre d'avoir de vieille américaines, pourquoi ? Bah la taille des voitures voyons ! Aucun pays n'étaient assez grand pour en avoir, les pauvres voitures ne passeraient pas les rues qui sont trop petites pour elle, même une autoroute ne serait suffisant à leur faire respirer. Ah qu'est ce qu'elle aimerait y aller pour voir de ses yeux émerveillés toutes ses petites merveilles de collections qui ferais baver n'importe quel collectionneur de vieille voiture et d'amoureux d'américaine. Dire que les États Unis faisait de si magnifique voiture et pourtant c'était un pays très critiqué, rien qu'en France, les personnes de gauches ne font que critiqué et craché sur les Amériques, pourtant eux au moins ils sont des bonnes voitures, des belles surtout ! Et ça vous voyez, ça faisait toute la différence.

Malheureusement elle n'en avait pas, ça n'existait pas dans son pays, peut être dans un musée mais à quoi bon puisqu'elle ne pourrait pas rouler avec vu la taille étroite des routes du Japon ? Même les courses de voitures étaient difficile ici, c'est pour cela que souvent elle se terminait inévitablement par la mort de plusieurs concurrent. En faite le gageant n'était pas le plus rapide, mais le survivant. Qu'importe, ne parlons pas de chose aussi déprimante que la mort d'imbécile qui prenait les voitures pour des jouer et qui causaient en même temps que leur mort, celles d'innocents qui n'avaient rien demandés à personne lorsqu'ils se sont fait fauchés par des abrutis qui ne pouvaient plus se sentir en conduisant vite, comme la plupart des jeunes hommes au volant d'un quatre roues. Nana avait donc préféré y aller à pied, c'était mieux et en plus ils pourraient plus longtemps profité de la présence de l'autre, c'était donc la meilleure solution vous ne trouvez pas ? Ça la rassura qu'il soit de son avis, elle avait eut peur qu'il ne préfère y aller en un quelconque véhicule, elle aurait bien été embêter et n'aurait pas su quoi dire pour décliner poliment l'invitation. Quand à son ennuie, non elle n'avait même pas vu la journée passé à vrai dire, ça prouve bien qu'elle n'eut pas le temps de s'ennuyer, en même temps entre une fugue et une nouvelle rencontre, il est difficile de s'ennuyer me direz vous
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Non du tout, je n'ai même pas vu le temps passé à vrai dire, et toi est ce que tu t'es ennuyé aujourd'hui ? Enfin je pense que la petite bastons que tu as eu tout à l'heure à mis un peut de piment à ta journée, quoique vu leur niveau ça n'a pas du être intéressant.


Elle avait dit cela comme s'il était tout à fait normal de se battre contre des voyous de seconde zones en pleine journée. C'est alors sur ces bonnes paroles qu'ils prirent le chemin de la sortit, car il fallait bien y aller avant qu'il ne fasse trop sombre, elle voulait encore se rappeler des rues. Elle avait beau être doué en repérage elle préférait être sûr, on est jamais trop prudent à ce qu'il parait. Surtout que si elle retournait bientôt au Mugenjô il faudrait qu'elle reprenne ses bonnes vieilles habitudes, donc autant commencer maintenant. Une fois sortit de l'immeuble luxueux ou vivait Karot elle prit la route pour se rendre chez elle en fredonnant quelque petite chanson qu'elle avait apprise aux château et qu'elle avait prit l'habitude de chanter aux plus petits pour les rassurer le soir avant de les mettre aux lits, si toute fois ils en avaient un … Il était amusant de voir la différence d'immeuble dans lequel les deux vivaient, un qui était bon d'y vivre et l'autre qui était bon à démolir. Nana aurait pu envier Karot pour être née une cuillère en argent dans la bouche, car grâce à son statut de fils de mafieux il pouvait se permettre beaucoup de chose et avoir beaucoup de chose sans le moindre effort, chose qui était plus dure pour quelqu'un n'ayant pas un tel statut comme elle, surtout qu'elle, elle avait un statut encore plus en dessous qu'un citoyen normal. Et oui, personne ne nait égaux, on à beau le dire car tous les bébés sont les mêmes, la famille dans lequel ils vont vivres fait toutes la différence dans le niveau de vie sociale qu'ils vont avoir. Parlez de cela était bien beau, mais les deux avaient finit par arriver dans les bas quartier des cités de Shinjukû, ils avaient prit une petite rue qui donnait une grande vue sur le château qu'elle regarda avec nostalgie, bientôt elle y retournerait … mais survivrait-elle ? Elle le saurait bien assez tôt. Puis dans la rue un vieil immeuble dans un état qui n'avait pas de mot pour être qualifier se dressait, c'était là qu'elle se rendait. Presque toutes les fenêtres étaient brisées, quelque prostitué, des mafieux et autres personnes peu fréquentable, bien qu'elle fréquente en ce moment même un mafieux, enfin rien ne s'y passait jamais dans cet immeuble, car tout le monde voulait qu'il reste une zone neutre où la police ne vient pas et où donc ils pouvaient faire leurs affaires sans la moindre crainte. Devant l'entrée de l'immeuble elle regarde Karot avec un grand sourire.

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Bon bah je pense que c'est ici que nos chemin se quitte, peut être qu'on se reverra bientôt Karot, j'ai été ravis de te rencontrer !
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une fugue, une rencontre [Pv : Karot]

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