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Nom :Kokaku Prénom :Shiraho Surnom : Full Metal Carrier Sexe : ♂ Age : 19 ans Origine : Humaine Famille : Plus maintenant Emploie : Transporteur

Pour faire ma description, nous allons procéder par étapes. Tout d'abord les généralités. On me dit petit mais c'est faux ! 1m65 ce n'est pas petit ! Enfin bref passons. Je suis plutôt fin et pourtant relativement musclé, et j'ai des yeux marrons clairs et des cheveux blonds noués en tresse dans mon dos par un ruban noir. J'ai un visage assez simple aux traits dans la norme. Au niveau vestimentaire je porte une veste noire souvent surmontée d'un long manteau rouge. J'ai un pantalon noir agrémenté d'une ceinture marrons où est attaché une chaîne retenant une montre. je porte enfin de grosses chaussures noires et des gants blancs. Finissons en beauté puisque deux parties de mon analogie sont uniques et atypiques. En effet, mon bras droit, ainsi que ma jambe gauche sont métalliques. Je les ai perdus dans une circonstance que vous découvrirez dans mon histoire. Et je vais vous révéler un secret : mon bras cache une lame pour les combats.

Sachez le tout de suite, je déteste qu'on me dénigre sur ma taille ! e ne suis pas petit ! Et vous risqueriez de vous prendre un pain métallique si vous me traitiez de petit... Sinon je suis plutôt sympathique, amical et assez extraverti, d'un caractère posé pouvant tout de même s'emballer. Au boulot je suis prêt à tout pour remplir mes contrats. Risquer ma vie? Faut bien que je gagne mes sous moi ! C'est un peu mon seul métier, j'ai jamais vraiment été doué, et faut gagner sa vie. J'ai bien sûr quand même un minimum d'intelligence, mais j'ai aussi, il faut le dire, un bon morceau de flemmardise. D'ailleurs je suis prêt à tout mais avant je réfléchis quand même à mes options, je ne prends pas non plus les éventuels affrontements à la légère. Enfin je suis un sacré glouton même si cela ne se voit pas sur ma taille, je mange tout et n'importe quoi (surtout n'importe quoi d’ailleurs).

Je suis né dans une famille relativement aisée de la ville et j'ai vécu une vie modeste durant mon enfance, jouissant des plaisirs qu'a tout enfant, mais aussi avec les désagréments que la vie comporte. Mon père était un transporteur, et comme il réussissait très souvent ses missions, ma mère n'avait pas besoin de travailler, il était grassement payé et suffisait à lui seul pour nous offrir la vie que nous avions.

Mais cette vie tranquille devait prendre fin un jour, et qui plus est de façon dramatique. J'avais 17 ans quand cela arriva. Le revers de la médaille de mon père finit par déborder. Il avait tout un tas d'ennemis en tout genres. Des jaloux, les gens qui voulaient récupérer les objets qu'il transportait... Cette haine que certaines personnes avaient envers mon père finit par exploser... dans tous les sens du terme. Je rentrais tranquillement du lycée, mes amis m'avait laissés seuls pour la dernière partie du chemin puisque leur maisons étaient plus proches. Arrivé devant la maison, le drame s'accomplit. La maison que j'avais en face de moi explosa. Je savais que mes parents étaient dedans. Ma mère, femme au foyer, n'avait pas de courses à faire, mon père n'avait pas de contrat aujourd'hui. J'étais donc devant ce désastre, impuissant, voyant ma vie s'effacer dans les flammes. Mais ce ne fut pas tout, j'en fus affecté physiquement aussi. Deux morceaux de briques, propulsés par l'explosion, percutèrent mon bras droit et ma jambe gauche. Sous la vitesse qu'avaient pris les projectiles, les membres touchés furent tout bonnement découpés. Déchiquetés serait mieux d’ailleurs vu l'état des moignons. Je tombais par manque d'équilibre du à la perte d'une jambe, et je restais là, ne voulant plus vivre, avant de tomber dans le coma.

Je me réveillais ensuite dans l'hôpital du coin. J'y appris que c'était les voisins qui, ameutés par l'explosion, m'avaient retrouvé en sale état. Par chance l'ambulance était arrivée très rapidement car non loin de la maison. ils avaient pu me bander mes moignons, et, comme j'étais resté dans le coma deux jours durant, en avaient profité pour me greffer deux prothèses haute-technologie. Moi, je voulais mourir. J'avais perdu mes parents. Mais un homme vint me rendre visite, prétendant être un grand ami de mon père. Il me dit que celui-ci ne cessait de parler de moi et que la dernière volonté de mon père avait été prise depuis longtemps : qu'il m'entraîne afin de devenir un transporteur de sa trempe. Je voulais mourir, mais la volonté de mon père était plus forte, et j'acceptais donc l'offre. Je restais un mois à l'hôpital pour me rééduquer, puis l'entraînement put commencer, ou presque. L'ami de mon père était un bricoleur, il inclua donc une arme à mon bras droit afin de pouvoir me battre contre les épéistes. L'entraînement dura deux ans, jusqu'au jour où je le battit, signe que je pouvais me lancer dans le "monde des affaires".

Prénom : Régis
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