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Nana Abaraï l'ordinateur organique

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Aria Zanelli

Admin explosive

Aria Zanelli

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Date d'inscription : 11/11/2011

Nana Abaraï l'ordinateur organique Empty
MessageSujet: Nana Abaraï l'ordinateur organique Nana Abaraï l'ordinateur organique EmptyMar 15 Nov - 21:32

VOTRE PERSONNAGE


[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]Nom : Abaraï
Prénom : Nana
Surnom : -
Sexe : [♀]
Age : 14 ans
Origine : Humaine, Japo-Russe
Famille : -
Emploie : -


DESCRIPTION PHYSIQUE


Un mélange …


Comme puis-je vous décrire le mieux possible son délicat physique qui est le produit du mélange de deux ethnies diamétralement opposé et caractéristique l'une comme l'autre ? Et bien oui cette petite n'était pas une pure race, c'était une bâtarde involontaire, alors qu'elle vit dans un pays des plus racistes, ne portant absolument pas dans son cœur les étrangers. Pour ne pas arranger les choses, cette jeune fille semblable à une fleur encore en bouton possédait un physique des plus méprisable, comme s'il voulait lui donné la vie dure, car quelqu'un qui possédait la beauté ne possédait pas forcément le bonheur, c'était même très rare et on peut dire que c'était un peu son histoire. En lui donnant que le meilleur du physique asiatique et occidental pour un merveilleux mélange des plus unique, la vie lui avait donné une vie des plus difficile, voir ignoble quand on la connaissait, quand on dit qu'on ne peut pas tout avoir dans vie, ça n'avait jamais été si vrai. Ainsi, à cause de son apparence aux mélanges des saveurs, elle était la proie rêvé pour toutes les personnes aux idées peu morales, mais également la parfaite victime pour les autres filles frustrées par la jalousie de ne pas jouir d'une telle apparence qui faisait que tous les regards se pause sur vous tant vous êtes un objets rares.


… Qui donne un Ange sucré.

Bien maintenant que nous avons placé le décor, attardons nous je vous prie sur les détailles. Cette petite qui portait alors le nom de Nana, avait garder la chevelure commune à tous les riches des pays de l'est, enfin ouest si l'on se situe au Japon, soit une chevelure blonde comme les blés qui venait donc de son père, Yuri, un riche homme d'affaire Russe. Leur longueur se situe jusqu'au milieu du dos, voir un peu moins, il est difficile de juger car elle bouge beaucoup. Ils sont un peu sa fierté de métisse, bien que cela lui coute d'être souvent victimisés par des filles de l'école, de plus ses origines de métisses ne sont pas enviable puisqu'elles sont teintés d'un sang causé par la barbarie. À cause de son train de vie plus que rude en fuyant chaque jour les monstres ou en se battant, bien qu'ils soient d'une grande douceur l'aspect de sa chevelure est effilochée, leur procurant un air sauvage. Mais cela à pour effet de conféré à son visage un charme indéniable, le contraste sauvage et visage d'ange à ses saveurs d'épices qu'on rajoute à un plat raffiné, le rendant des plus exquis. Ses yeux, eux, ont la chance d'être plus grand que la normal japonaise et leur iris ont une couleur envoutante de violet profond tirant vers le pourpre. Ils sont souvent caché par des mèches de cheveux venant de sa franche un peu longue et sauvage qu'elle oublie de couper n'ayant pas le temps de s'en préoccuper ce qui l'arrange bien car l'un de ses iris porte le stigmate en forme de croix. Étrangement cette rare couleur ne vient ni de son père ni de sa mère, peut être est-elle du aux mystères du Mugenjô ou du faite qu'elle n'ait pas été désiré. La finesse des traits de son visage délicatement dessiné provient de ses origines japonaises. Cela se remarque facilement avec son petit nez et ses lèvres un peu plus pulpeuse que les occidentales, le tout lui donnant une frimousse angélique en parfaite harmonie avec ses cheveux lumineux. De quoi vous donnez envie de passer des heures à le contempler.


Son petit cou délicat peu facilement donner envie de poser ses lèvres dessus, il semble si fragile tant il est fin qu'on à l'impression qu'on peut le broyer d'un simple geste de la main à moins que l'on préfère y attacher un collier avec une laisse pour s'approprier la douceur de son tendre visage. Ses épaules larges et fines lui donne un air des plus frêle, mais ils sont pourtant capable de porter des poids imposant tout comme ses bras qui se terminent par des douces mains fines et chaleureuses appelant à la confiance et procurent un sentiment de sécurité. Son dos n'est pas en reste malgré sa musculature fin qui le sculpte gracieusement lui permettant de supporter sa vie difficile. Sa poitrine développé discrètement sans être des plus voyante ressort grâce à ses courbes bien dessiné et à son ventre plat. Plus bas nous tombons sur des hanches en parfaite harmonies avec son tour de poitrine avant de descendre sur des longues jambes élancé et interminable. Celles-ci ne trahissent en rien sa finesse d'enfant, et son suffisamment forte pour l'aider à toujours se relever des difficulté à affronté pour continuer d'avancer vers l'avenir bien qu'il soit incertain.


DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE


Un ange …


Lorsque l'on voit son visage angélique pour la première fois on ne doute absolument pas qu'elle soit un ange blanc de toute innocence. c'est effectivement le cas, si l'innocence et la pureté devait être représenté par le corps d'une simple morelle alors ça serait bien elle. La douceur à l'état pure, toujours un lumineux sourire sur les lèvres pour le répandre autant que possible dans se monde de violence. Le monde cruel dans lequel elle a grandit, totalement dénué d'amour et de joie, était bien trop dure pour elle et les enfants du Mugenjô, il fallait bien que quelqu'un transmette les sentiments positifs aux autres, et c'est donc pour cela qu'elle prit se rôle. Car si personne ne le fait qui le fera ? Elle s'occupa alors de protéger des autres, en les protégeants, les rassurants du mieux qu'elle pouvait, servant alors de grand soeur de substitution aux enfants avec qui elle vivait. Jamais elle ne se plaignait de son sort ni ne craquait, même si elle est aussi fragile qu'un morceau de cristal, il fallait toujours qu'elle prenne sur elle pour pas inquiéter les autres. Cela faisait dans un sens sa force. C'est ainsi qu'elle est, le bonheur des autres faisait le sien. Elle aime les joies simples, comme elle a grandit dans la misère, elle n'est pas bien difficile et ce contente de ce qu'elle a sans chercher à en avoir plus. Bien sûr il y a des choses qu'elle aime particulièrement comme les choses mignonnes ou sucrés. Les pires choses pouvaient lui arrivé, elle réussira toujours à garder le sourire et de continuer à avancer, heureusement car sinon elle serait morte depuis longtemps.


… Aux ailes brisés.



Pourtant des fois il lui ait arrivé de vouloir tout abandonné, notamment la vie, car la vie était justement trop dure et ignoble qu'elle n'arrivait plus à trouver des raisons de continuer à vivre dans ce monde où dès qu'un espoir apparait il est aussi tôt détruit. Souvent son jeune esprit fragile a été traumatisé par des vision de cauchemar, entre les raisons de sa naissance et la mort de ses amies … Mais avoir servit de cobaye pour des expériences n'était pas mieux et inconscient depuis tout ce qui est mécanique, est important. Autant vous dire qu'elle n'avait plus vraiment de notion de violence tant elle en était désabusé. Sa sortie dans le monde extérieur car se faire poursuivre par la police et être victime d'acte de racisme à cause de sa couleur de cheveux. Elle s'en était retrouver profondément blessée. Pour tous les habitants de la zone basse, l'extérieur du Mugenjô était un endroit merveilleux, c'est ce qu'elle avait aussi pensé durant des années, mais lorsqu'elle y est allé pour fuir l'horreur du château elle réalisa que ce n'était pas exactement le cas. C'était certes moins violent que la vie au château, mais ce n'était pas ce que tous espérait, surtout qu'il y avait des règles de vie qu'elle ne connaissait pas, du coup elle se retrouver encore plus perdu et déboussolé que dans le château. La pauvre ne savait plus en quoi croire, tout était malsain où qu'elle aille, même sa confiance envers autrui avait prit un sacré coup. Mais qu'importe si pour le moment elle n'avait pas de relation humaine car elle avait bien plus, sa relation unique avec Pluto.


BIOGRAPHIE


• Chapitre 1 • Naissance ensanglanté •

Si l'on veut vraiment parler de son histoire, il faut forcément commencé à la base soit par la raison de la rencontre de ceux qui deviendrons ses parents. Parlons donc de son père, car c'est lui qui est à l'origine de tout. C'est un riche milliardaire Russe qui a fait fortune grâce à un don inégalable pour la gestion des affaires dans de nombreux domaines. Son talent était connu de tous et lui fallut d'être sur la liste des prétendants pour faire partie du cercle très privé qu'était le Brain Trust. Attiré comme une mouche par le miel par tout ce que cela représenté il se rendit sans plus attendre à Babylone City ce trouvant au sommet du Mugenjô. Malheureusement pour lui son talent mais également sa force furent jugés insuffisant et se vit alors refuser l'entrée puisqu'il était arrivé avec difficulté au sommet du château. Frustré à un point inimaginable, se sentant humilié il descendit dans les bas fonds du Mugenjô déverser se rage, là il tomba sur un groupe de femmes qui vendaient leur corps pour survivre dans ce milieu presque mafieux. Obsédé et aveuglé par la pire des haines il prit en victime se pauvre groupe pour faire passer ses nerfs dessus en usant de la pire des violences. Comme il était suffisamment fort pour monter jusqu'à Babylone City personne n'osa s'interposer et tout le monde le laissa assouvir ses actes les plus barbares en faisant comme si de rien n'était. En vérité même s'il n'était pas aussi fort personne n'aurait bougé le petit doigt pour venir en aide à ses femmes encore plus mise à mal que du bétail voué à l'abatoire, c'était ainsi la vie au sein du Mugenjô. Ainsi se fut l'horreur pour ses sept femmes torturées et massacrées en pleine rue, elles avaient beau hurler à s'en déchirer les cordes vocales aucune main tendue pour les aider n'apparaissait et le fait de voir tous ses gens qui passaient à côté d'elle et qui ne leur prêtaient pas la moindre attention était tout aussi horrible que les déchirement de leur chaire sous la violence des coups qu'elles subissaient. Ces pauvres femmes qui luttaient déjà tant bien que mal pour survivre dans un monde difficile en abandonnant leur fierté se retrouvèrent dans des états innommable, ne ressemblant même plus à quelque chose d'humain tant leur corps avait été ravager. Sauf une, sa rage l'avait tellement possédé qu'une d'elles avaient réussit à se prendre moins de coup et ainsi rester vivante pour l'heure. Quelle erreur, si elle avait su, elle aurait surement préféré mourir sous des rafales de coup plus violent les uns que les autres. La malheureuse fut repéré immédiatement par l'homme méprisable qui était encore inassouvie, et l'attrapant en lui brisant le bras sans la moindre état d'âme, il la viola à même les dépouilles des autres victimes sans même faire attention aux os qui ressortaient de son corps suite aux blessures qu'il lui avait infligé et continuait de lui faire aussi mal qu'il le pouvait pour satisfaire ses désirs sadiques. Une fois qu'il l'avait souillé, il l'abandonna au milieu de ses tas de lambeaux de chaire encore chaud et humide par le sang. La femme devient folle, la douleur de la torture, la vue du massacre de ses sœurs et amies et son viole sur leur propre dépouilles sans personne pour leur venir en aide alors que tout se déroulait en un lieu emplit de monde avaient eut raison de son esprit. Mais son cauchemar était bien loin d'être terminée, car n'ayant plus d'esprit, elle n'avait pu se rendre compte qu'elle était tombé enceinte de son agresseur. Devenue folle, elle erra dans le Mugenjô comme un fantôme, cela bien sûr ne manqua pas d'attiré des êtres peu recommandable. Et c'est un de ses hommes qui la recueillit et s'occupa alors d'elle, mais ses arrières pensés étaient bien malsaine, car dans le château de l'infini la chair et les os sont des monnaies courantes, et celles de nourrissons valaient un bon prit. Il comptait alors bien revendre ceux de celui dont elle allait accouché et en profiter pour revendre ceux de la mère juste après qu'elle l'ait mis au monde, ainsi il ferait deux pierres d'un coup. Il s'occupa alors d'elle sans l'abimer plus qu'elle ne l'était déjà, l'appât du gain l'aidant fortement pour ne pas tenter quoique se soit. Mais le jour de la mise au monde de l'enfant indésiré ne se passa pas selon ses plans pourtant bien calculé. Oui la douleur de l'enfantement fut si terrible à cause de séquelles des tortures que lui l'avait mise enceinte que tous ses souvenirs du massacre qui avaient disparut suite à l'effondrement de son esprit refirent surfasse laissant alors échapper un cris d'effrois se mariant avec ses regards horrifier. La pauvre était littéralement terrorisée et elle se débattait contre le démon de ses souvenir, prenant alors l'homme à ses côtés pour son ancien bourreaux. Sa peur était si grande que sa force s'en retrouvait presque décuplé et finit, sans le vouloir par tuer celui qui avait prévu de la tuer. Mais tout ce s'arrêta pas là, la douleur qu'elle ressentait, aussi bien la physique que la psychologique, était si insupportable que son esprit son esprit se brisa définitivement pour ensuite mourir en même temps qu'elle donnait la vie. C'est donc en baignant dans le sang du cadavre de sa mère que le bébé ouvra pour la première fois les yeux est poussa son premier cri, ce bébé né d'une morte.


• Chapitre 2 • Mécanique Organique •


À force de pousser des hurlement incessant, le petit bébé réussit à se faire entendre et ainsi attiré l'attention de quelqu'un. Cette personne qui entendit les cris de détresse du nouveau né était un vieillard où on pouvait lire sur son visage la souffrance d'une longue vie riche en affrontement dans un monde qui ne vaut pas la peine d'être vécus. Lorsqu'il se retrouva sur les lieux du tragique événement, il fut remplit d'une horreur sans nom et sur le coup son premier reflex fut l'envie d'abrégé les pleures de l'enfant maudit pour lui éviter de souffrir. Mais lorsqu'il s'approcha du petit être pour lui briser la nuque de ses mains robuste, il se retrouva incapable de lui faire plus de mal qu'il ne devait en ressentir déjà d'être né d'un cadavre. À force de la regarder, car oui le nourrisson était une fille, il décida de s'en occuper et après avoir coupé le cordon ombilicale qui rattachait l'enfant encore au cadavre de sa mère il l'a prit dans ses bras et l'emportant chez lui en la cachant dans son manteau. Le vieillard habitait dans la zone ceinture du Mugenjô, aussi appelé Belt Line, cela expliquait pourquoi il avait un stigmate en forme de croix dans l'un de ses yeux. C'était la zone la plus dangereuse du Mugenjô car tous les plus puissant s'y rendaient pour affronter ceux qui s'y trouvaient déjà, mais la différence avec le niveau inférieur était tel que tout ceux qui venait des bas fond du château surnommait cette zone l'enfer lorsqu'ils réussissaient à en ressortir vivant. C'est donc là qu'elle fut élevée et baptisé Nana, il l'avait nommé comme cela parce que ce chiffre était aussi bien un symbole de chance que de malchance selon les superstition. Pour elle il était clairement symbole de malheur. Le vieillard s'appelait quand à lui Sahad, il était originaire du royaume de Perse et c'était un grand informaticien, il avait été appelé au Mugenjô pour ses recherches et ainsi assisté l'architecte Gen pour les infrastructures du château et des archives. Sahad éduqua alors la petite avec ses connaissances, lui apprenant tout dès son plus jeune âge, et ainsi très vite elle prit conscience des capacités possibles de ses dix doigts. À peine âgée de deux ans elle réussit à monter un ordinateur et à le connecter aux réseaux du château un bref instant, peut être que le château lui même y était pour quelque chose qui sait, lui aussi s'ennuyait. Impressionné par son don incomparable, il fut habité par des idées étranges, lui aussi avait n'avait pas pu rejoindre le cercle très fermé du Brain Trust, et n'avait plus aucune chance de pouvoir y accéder puisque l'entré fut celé par la reine des sorcières. Il voulu alors trouver un moyen de ce connecter aux archives pour découvrir comment rouvrir les portes de la citadelles de Babylone et ainsi espérer s'y rendre, mais il ne voulait pas s'y connecter avec un ordinateur mais directement à partir du système nerveux de la jeune enfant. Comme tout le monde le sait, le corps humain est composé de carbone, d'eau mais surtout on y trouve de l'électricité et à partir de cela il voulait créer une nouvelle sorte de système informatique organique. Lui qui s'était comporté jusqu'à maintenant de manière normal avec Nana, il se changea rapidement en un scientifique orgueilleux transformant l'enfant en cobaye juste dans l'espoir d'être reconnue par le Brain Trust. Trop jeune pour tout bien comprendre ce qui lui arrivait, la petite se laissa faire, la laissant alors la câblé, lui donner des choques électriques et tout un autre tas d'expérience sur son corps dont nous passerons les détailles. Sans même qu'elle puisse s'en rendre compte, son enfance ce transforma rapidement en un cauchemars aux allures d'expérience presque futuriste. La chance était en plus du coté du scientifique car la petite n'étant pas encore complétement formée, son organisme évolua aux fur et à mesures qu'il expérimentait de nouvelle méthode sur elle, ainsi après des mois et des années d'essais en tout genre il réussit à faire d'elle un être capable de se brancher à un système informatique comme si elle en était un compostant, à la manière d'une clé USB qu'on branche à un ordinateur, bien qu'elle, elle soit vivante et autonome. Ce qui était peut être le plus horrible dans ce tableau c'était que la moitiés des câbles et autres systèmes auxquels elle se retrouvé branché et qui avaient modifier son organisme étaient fabriqué par elle, de ses propres mains il lui avait fait fabriquer ces objets de tortures qui allaient l'empêché d'avoir une vie normal de petite fille. Malheureusement pour Sahad il avait négligé un détail fort important et il allait payer le prix de sa négligence. En essayant encore une fois de la connecter aux archives, cela fut un franc succès, mais la petite pu se rendre compte que tout le destin du monde y était enregistré et décidé à l'avance, on pouvait y voir le passé, le présent et le futur. Poussé par la curiosité propre de son âme d'enfant elle voulu en apprendre plus sur elle et donc ses origines, et les archives lui montrèrent alors le tragique destin de sa mère et de sa naissance cruelle indésiré. Elle n'était pas une enfant de l'amour, elle était une enfant de rien, d'un viole et d'un meurtre, elle était juste originaire d'un acte cruel et égoïste et sa venue au monde s'était fait presque de la même façon. Ne pouvant supporter autant de vision effroyable à son age, son esprit entra en catatonie sans plus attendre, provoquant durant une fraction de seconde un bug informatique dans le château à cause d'une sur-dose émotionnel. Là quelque chose que le scientifique n'avait absolument pas prévus dans ses plans et que personne n'aurait pu enfaite prévoir arriva sans crier gare. S'il avait réussit à faire de Nana quelqu'un de capable de se connecter grâce à son propre corps à un système informatique, l'énorme ordinateur auquel elle était branché chaque jour et qu'elle avait en partie construit avait lui finit par acquérir une conscience propre. L'énorme machine était donc capable de ressentir tout ce que ressentait la petite fille lorsqu'elle était branché à lui, et inconsciemment à force d'être lié l'un à l'autre, il avait finit par avoir de l'affection pour elle. Le choc qu'elle venait de ressentir fut si violent qu'il s'était réveillé si l'on peut dire et il ne supporta pas qu'elle subisse un tel traitement si sauvage, prenant ainsi la grave décision de la venger.


Après une semaine de coma émotionnel elle se réveilla, son esprit encore jeune se protégea en faisant passer ses visions du passé pour un cauchemars trop violent. Le lendemain matin de son réveil, Sahad était partie chercher des nouveaux composant pour reprendre les expériences et aussi se nourrir, elle était loin de se douter que cela serait la dernière fois qu'elle le verrait. Se retrouvant alors seule elle voulu se brancher sur son ordinateur, mais pour la toute première fois celui-ci refusa, il restait muet à tout ce qu'elle faisait pour l'allumer, il ne voulait pas qu'elle sache ce qu'il avait prévu de faire de cette journée funeste. Son plan était bien calculé, pouvant automatiquement aller sur le système du Mugenjô puisqu'il était un système informatique, il fit en sorte que sur la route du vieillard se trouve tous les êtres les plus cruelles de la zone. Le temps avait eut raison de lui, bien qu'il avait passé sa vie dans cette zone semblable à l'enfer, sa force s'était affaiblit, et à passer cinq ans à faire des expériences sur un enfant, il en avait oublié les réflexes d'un combat acharné. Sahad termina alors sa vie dans un dernier hurlement de souffrance sur un visage tordu par la douleur avant d'exploser comme tout le reste de son corps. Il ne resta alors plus rien de lui qu'une flaque de sang qui dégoulinait sur un des murs du lieux du massacre, on ne pouvait même plus différencier sa chaires et ses os tant il avait été réduit à un état encore plus sale que de la bouillit. Pendant ce temps, durant toute la journée la petite fille l'attendit en fixant inlassablement son ordinateur en même temps qu'elle fabriquait des petits objets mécaniques. Plus le temps passait et plus elle s'inquiétait, et la nuit tombé elle se prépara à aller à sa recherche, mais lorsqu'elle s'approcha de la porte pour sortir son ordinateur géant qui avait jusqu'à maintenant refuser de lui obéir de la journée s'alluma tout seul. Surprise elle s'arrêta et l'observa quand soudain la voix artificiel de celui-ci s'adressa à elle lui disant de ne pas y aller car c'était trop tard. Jamais elle n'aurait cru cela possible, et elle était si intrigué qu'elle en oublia d'être triste pour celui qui l'avait éduqué. Elle se rapprocha alors de son ordinateur et lui posa tout un tas de question comme si c'était une personne des plus normale. À force de discussion et de jeu, elle l'affectionna de plus en plus, devenant son ami à part entière, elle lui donna même un nom : Pluto. Malheureusement pour eux deux, sans Sahad elle ne pouvait pas survivre, elle était bien trop petite pour réussir à trouver de quoi se nourrir dans la zone de ceinture même si l'un de ses yeux avaient finit lui aussi par avoir le même stigmate que Sahad, et contrairement à son ami elle ne pouvait pas survivre en se basant sur l'énergie électrique du Mugenjô. Les jours alors passèrent et son état se déclinait par manque de nutrition, l'heure avait finit par être grave et elle était mourante. Pluto ne pouvait le supporter puisqu'il l'aimait, et prit alors la décision de la faire descendre dans la zone basse, là bas elle aurait plus de chance de survie. Sauf que l'idée de se retrouver toute seule et d'abandonné son seul ami effrayait vraiment la petite, mais il la força, c'était pour elle le seul moyen de survivre et ainsi de se retrouver un jour. C'est donc après plusieurs heure de négociation et à contre cœur qu'elle prit le chemin sans danger qu'il lui avait indiqué pour rejoindre la zone basse.


• Chapitre 3 • La cruauté d'en bas •


C'est ainsi que pour la première fois de sa vie encore courte elle se retrouva totalement livrée à elle même et ceux dans les bas fond du Mugenjô. Bien qu'elle y soit née elle n'y connaissait absolument rien, elle ne savait pas quoi faire si ce n'est rester discrète, regardant les gens s'entre tuer de manière tout à fait naturelle, se prostitué ou vendre des choses illicites. Est ce que le monde entier était comme cela ? À cette époque elle ne savait même pas qu'il y avait autre chose que le Mugenjô et le monde se résumait à l'enfer qu'elle voyait. Errant comme un chien abandonné dans les ruelles du château à la recherche de quoi se remplir ne serrai-ce qu'un peu son estomac, elle finit par se perdre dans la vastitude de la zone. Elle réussit tant bien que mal à se débrouiller, fuyant comme elle le pouvait les adultes qui l'attaquait, volant de quoi survivre, jusqu'à se qu'elle débouche dans une zone détruite où se trouvait tout un tas d'ordure et de débris d'habitation. Là elle découvrit tout un groupe d'enfant d'à peut près son âge qui essayait eux aussi de survivre en ces temps difficiles. Comme il est toujours plus facile de survivre en groupe car on peut s'entre aider, et que le taux de mortalité était des plus important ici, le groupe n'eut aucun mal à l'accepter tout de suite parmi eux. Comme elle était douée pour fabriquer et tout et n'importe quoi, pour les remercier de l'avoir accueillit, elle transforma le taudis dans lequel le petit groupe vivait, le rendant alors un peu plus solide et à l'abri des caprices de la nature. Elle avait même fabriquer des semblants d'armes pour se défendre contre les monstres qui vivaient dans le Mugenjô, car s'il y avait des hommes qui y vivaient, il y avait aussi des monstres, il fallait donc se méfier de tout le monde. La vie était donc rude pour le petit groupe et les visages des membres qui le composait changeait régulièrement pour la plupart des membres, entre ceux qui mourraient et ceux qui les rejoignais, chaque jour était une surprise. Rare était donc les membres qui survivait longtemps, les plus grands pourtant essayaient tant bien que mal de protéger les plus petits, mais tous finissaient par mourir sous les coups des adultes sanguinaires. Dans le Mugenjô il n'y avait aucune pitié pour les faibles ni même pour les enfants, il n'y avait de pitié pour personne, seul les forts survive, les autres ne sont là que pour les nourrir, tel était la vie. Mais même si la vie était des plus cruelles aux points que la mort des membres du groupe soit devenue quelque chose de tout à fait naturelle, les enfants continuaient de sourire, même lorsqu'ils construisaient des croix pour leur camarade qui venait de mourir, ils continuaient de jouer pour se changer les idées et essayer de ressembler à des enfants normaux.


Cela faisait maintenant cinq ans que Nana avait rejoint le groupe, il ne se passait pas un seul jour où elle n'allait pas d'isoler sur les toits des taudis se rappeler de son ami Pluto qu'elle avait laisser à la zone de ceinture, en se demandant s'il la voyait de là où il se trouvait et comment il allait. Bien sûr il pouvait la voir, il y avait après tout de nombreuse caméra se trouvant un peu partout dans le Mugenjô pour que les archives puissent tout surveiller, mais ça elle ne pouvait le savoir. Du groupe, il n'en restait désormais plus que trois qui dataient de l'époque où elle l'avait rejoint, trois garçons, deux qui étaient plus vieux qu'elle d'un et deux ans, et l'autre qui était d'un ans son cadet. Dans les nouveaux membres il n'y avait qu'une fille et un garçon qui avaient un ans de plus qu'elle, c'était donc à eux six de veiller sur le reste du groupe. Pour montrer qu'ils étaient les « chef » du petit groupe, Nana leur avait fabriqué des tenues inspirés de ceux des Yankee et Yakuza, à base de pantalon blanc, bande de tissu et longue veste blanche avec des inscriptions en rouge dans le dos ainsi qu'un masque pour cacher le bas de leur visage. Ses inscriptions à elle était « la princesse renarde » c'était le plus âgé du groupe qui leur avait donné des surnoms à tous, pour elle il c'était basé sur ses cheveux blonds qui lui rappelait les princesses dans les contes de fée occidentaux et renarde parce qu'elle avait un don pour repérer les personnes à arnaqué et son talent à chaparder les objets intéressant, comme les renards à neufs queue dans les légendes japonaises. Et donc chaque jours vêtus de leur tenues, ils semaient la pagailles dans les bas fond pour trouver ce dont ils avaient besoin tandis que les autres restaient à l'abri dans les taudis. Le groupe d'enfant avaient finit par se faire connaître, se faisant surnommer « Stray Children » puisque le groupe n'était composé que d'enfant enfant errant et perdu sans aucune famille ni rien. Malheureusement lorsqu'on commençait à être connue dans ce milieu, on attirait bien vite les danger comme une malédiction qui vous colle à la peau sur des générations jusqu'à ce qu'il n'y reste plus rien pour la contenir. Ainsi le pauvre petit groupe devait de plus en plus fuir à cause des attaques qui se faisait chaque jours plus nombreuse et plus violente, agrandissant leur cimetière de croix en métal en mémoire de leur amis.


• Chapitre 4 • Génocide •


En trois ans maintenant tout avait bien changé, les battu inlassable pour les exterminé avaient eut raison de la moitié du groupe. Celui-ci avait presque disparut et plus personne n'en entendait parler, pour cause, leur cimetière atteignant presque les milles cents croix, un nombre non négligeable d'enfant mort en huit ans. Du groupe de base il ne restait plus personne, Nana était devenue maintenant la plus ancienne, il ne restait d'ailleurs plus aucun garçon dans le groupe, et l'autre fille qui faisait partie du groupe des six avec elle n'était plus en état de se battre suite à la perte de sa jambe droite. Les temps étaient vraiment devenue difficile pour le groupe composé uniquement de fille maintenant, et le taux de survit était devenue plus qu'insignifiant, autant dire qu'il était voué à disparaître de manière funeste. C'était le destin des enfants du Mugenjô, même lorsque le groupe essayait de sauver des nouveaux nées abandonnés, ils finissaient hélas toujours par périr peu de temps après n'ayant pas suffisamment de soin nécessaire pour survivre. Cependant Nana ne perdait pas espoir, car ne dit on pas tant qu'il y a de la vie il y a de l'espoir ? Enfin ce genre de discourt ne collait pas avec le décor du Mugenjô malheureusement, c'était bien trop optimiste. Devenue alors la chef du groupe de fille elle se devait de chercher de quoi faire survivre tout le petit groupe tandis que son amie amputé d'une jambe s'occupait de rester à garder le reste des filles. Se débrouillant seule car le groupe n'était plus assez nombreux, c'est à peine s'il dépassait la dizaine, elle luttait chaque jour, revenant toujours blessé et souvent bredouille, mais elle continuait encore et encore car elle savait que c'était sur ses épaules que la vie des autres reposaient. Étant une grande mécanicienne elle réussit à trouver de quoi fabriquer des bombes et des pièges pour survivre et espérer blesser ses ennemis. Avec de telles armes elle réussit à blessé plus d'une personne et même à en tuer bien que cela n'était pas vraiment le but de départ, mais qu'importe dans qu'elle pouvait en échange nourrir son groupe, la vie des monstres n'avaient que peut d'importance à ses yeux puisqu'ils avaient exterminer bon nombre de ses amis. Mais croire qu'elle pourrait survivre ainsi était une erreur, car personne ne voulait voir des enfants réussir à s'en sortir et à réussir à blessé des êtres qui pensaient leur être supérieur, et le châtiment pour essayer de s'en sortir serait sans merci. Si Pluto avait pu lire l'avenir dans les archives, il aurait surement tout fait pour essayer de la contacter et de la protéger, mais les archives étaient vicieuses et bien malsaine, se délectant de la misère et du malheur des autres.


C'est donc bien pour cela qu'elles décidèrent d'apprendre la cruauté de la vie à la jeune fille, et de lui montrer que survivre ici n'était pas aussi facile et que ce n'était pas en fabriquant quelque objet futile qu'elle sauverait qui que se soit. Surtout que d'autre groupe plus fort que le siens se faisait un nom au sien du château, tel que les Fuga, les Volts … cela commençait à être dangereux il fallait donc réduire leur nombre et commencer par les plus faibles. Et par une journée du début de l'hiver, où les premiers froids se faisait sentir, le temps était même d'un blanc lumineux, le drame arriva. Elle était partie de jour là chercher de quoi protéger encore plus leur petit taudis de l'hiver, et aussi des provisions car les temps étaient à la pénurie de nourriture, un véritable problème pour tous les habitants. Sans se douter de ce qu'il se passait dans les taudis, elle était partie en souriant en pensant qu'elle rentrerait en regardant leur visage souriant même si elle ramenait que peu de chose. Mais les sanguinaire de la zone basse avait bien décidé d'en finir avec son petit groupe de fille sévissant dans les taudis. Ce fut une véritable traque aux membres du petit groupe, les êtres les plus violents étaient venus dans les taudis en saccageant tout sur leur passage, tuant même des gens qui ne faisait pas partie du groupe qu'ils voulaient annihiler. Lorsqu'ils arrivèrent sur place et qu'ils les trouvèrent après avoir tout détruit, un massacre sans nom eut lieux, un véritable génocides du groupes de jeune fille. Ils s'acharnèrent sur elle encore pire que s'ils étaient des bêtes sauvages, les démembrant, les éviscérant tout en les violant dans le seul but de satisfaire des pulsions meurtrière en se délectant de leur hurlement de peur et de douleur, déchirant encore plus leur chaire par réflexe. Jamais plus elle ne reverrait ses amies qui avait terminées aussi mal que sa mère. Lorsque le corps des filles étaient devenue inutiles pour en tirer quoique se soit, leur tronc fut empalé ou attaché sur des barbelées comme si c'était des décorations, quand à leur tête, leur yeux leur furent arrachés et garder en trophée. Des taules et de larges morceaux de tissus, ce fut tout ce que Nana avait réussit à trouver pour ses amies, il était donc temps pour elle de rentré à la maison, enfin ce qu'il en restait … Une fois qu'elle arriva sur place en courant le sourire aux lèvres cachés par son masques, les bras remplis de ce qu'elle avait récupéré, son monde s'écroula. Elle laissa tout tomber sur ses pieds, choqués par la vision qu'elle avait, elle ne pouvait même pas différencier les corps de ses amies tellement il ne leur restaient rien. Elle s'effondra en larme, elle n'avait même pas été là pour leur venir en aide, bien que ça présence n'aurait absolument rien changé, mais au moins elle ne serait pas rester seule et serait morte dans la même souffrances que les autres. Après avoir déverser toutes ses larmes et hurler sa rage, les mains gelées par le froids, elle fabriqua avec les taules qu'elle avait rapporter des croix pour ses amies qui venait de se faire assassiner. Pendant un long moment elle resta là à regarder toutes ses croix qui peuplaient le cimetière, se demandant si elle n'aurait pas mieux fait de rester avec Pluto et de mourir de faim à ses côtés plutôt que descendre dans la zone basse et de souffrir de tous ses souvenirs heureux. Se retrouvant alors encore une fois seule, elle prit la décision de chercher un autre endroit où vivre, et sans qu'elle ne s'en rendre compte, à force de marché, elle avait finit par mettre un pied à l'extérieur du Mugenjô, ne laissant que des traces de pas dans la neige encore fine derrière elle.


• Chapitre 5 • L'extérieur •


L'extérieur était un monde étrange, pour commencer elle ne ressentait pas la présence des monstres, et le monde avait l'air beaucoup moins pauvre et sauvage que dans le Mugenjô. Tout semblait normal, enfin pour elle comme la normalité était aux normes du Mugenjô elle trouvait cela étrange que personne ne s'entre tue ou ne soit agressif avec les autres, c'était trop calme, tellement que ça l'effrayait presque. De plus tout était si vaste qu'elle ne savait pas par où aller, il y avait plein de magasin, de restaurant de chose qu'elle n'avait jamais vu encore de toute sa vie et qu'elle ne connaissait absolument pas qu'elle était plus que perdu. Elle traina alors dans les rues pendants plusieurs jours et comme voler était devenue un monde de vie pour elle au château elle s'en sortait plutôt bien, surtout que les quelques voyous qu'elle rencontrait sur son chemin la nuit n'avait rien à voir avec ceux qu'elle avait l'habitude de fuir ou combattre, et donc les mettre hors jeux était d'une grande simplicité. Sauf que voilà une enfant qui traine dans les rues toute seule c'était très mal vue surtout quand c'est une délinquante et les autorités furent rapidement avertie de son existence, et la police finit par la coincé non pas sans mal aux bouts de quelque semaines. Elle c'était faite avoir car elle ne savait pas du tout ce qu'était la police, et une fois au poste ils se retrouvèrent dans une position délicate puisqu'elle n'avait aucune famille où aller. Ne sachant quoi faire d'elle et ne pouvant se permettre de la relâcher dans la nature, elle fut placé dans une sorte de foyer d'accueil et inscrite à l'école. Première fois de toute sa vie qu'elle y allait et elle ne savait même pas ce que c'était, sa surprise fut énorme lorsqu'on lui expliqua le principe et qu'on lui donna un uniforme, c'était la première fois qu'elle avait des vêtements non pouilleux mais d'une certaine élégance. L'angoisse la prenait, elle était même prête à retourner au Mugenjô tellement l'école dans laquelle on la déposait l'impressionnait. Ici tout le monde savait lire et écrire, tout le monde portait de beau vêtement et parlait correctement, ils avaient la belle vie, alors que elle c'était rien de tout ça, elle ne connaissait que la misère et la mort, elle ne savait qu'à peine lire et écrire, tout ce qu'elle savait faire c'était construire des objets robotiques et s'amuser sur un ordinateur. Son premier jour de classe fut un véritable enfer psychologique, humiliation total car elle ne savait rien, elle n'avait aucune base se trouvant totalement largué, lorsqu'elle rentra dans sa chambre de fortune qu'on lui avait donné elle s'effondra en larme en repensant à son ami Pluto qui était toujours au Mugenjô, elle mourrait d'envie de le revoir et de fuir ce monde qu'elle ne connaissait pas. Ne pouvant hélas réalisé ce rêve, elle fut contrainte de retourné à l'école le lendemain, et se fut pire, cette fois ci les autres filles de l'école s'en prirent à elle à cause de ses cheveux blonds, car elle avait remarqué que personne n'avait cette nuance de couleur à l'école, et dans la rue elle n'en avait croisé que très peu, elle pouvait même les compter sur ses doigts. Ainsi enfermé de force dans les toilettes, elle qui n'osait pas frapper ces gens car elle ne voulait pas redevenir comme dans le Mugenjô se fit alors frappé et couper les cheveux. Victimisé parce qu'elle était métisse, elle reçut se genre de traitement durant plusieurs jours, les professeurs n'y faisaient rien, fermant les yeux sur cette enfant au passé trouble. Durant des jours cela dura, jusqu'à ce qu'une des filles lui fasse une certaine réflexion qui la fit sortir de ses gonds et redevenir la princesse renarde sauvage qu'elle était lorsqu'elle était chef de gang. Là elle terrorisa tous ceux qui l'avait brimé, leur faisant payé tout ce qu'ils lui avaient fait, revêtant son ancienne tenue devant la Yankee de l'école. Bien que sermonné par l'école et ses tuteurs elle ne changea pas, et devient même populaire en tant que voyou de l'école, elle battu même celui qui était censé tenir ce rôle très facilement et imposa alors le respect. Plus personne n'osa lui dire quoique se soit, et certaines filles qui ne lui avaient rien fait se mirent même à l'admiré. Petit à petit elle retrouva alors son rôle de chef de gang de fille et se retrouva avec toute une petite équipe bien à elle prête à la suivre à la vie et à la mort. Chaque école avait son gang qui y faisait régner la loi, l'école en laissait toujours au moins une, cela permettait un peu de discipline sans que les enseignants n'aient à le faire eux même, et ainsi le Girl Band qu'elle avait formé était devenue l'égale dans l'école bien que ses tuteurs n'appréciaient pas spécialement ça. Toutes ses années du collèges se passèrent alors ainsi imposant chaque année le respect à toutes les classes, éliminant les concurrents, elle avait même eut le droit de revêtir sa tenue de Yankee à l'école si elle le voulait, bien que l'uniforme scolaire lui aille particulièrement bien. Les rares fois ou elle et sa bande faisait du grabuge en dehors de l'école c'était pour éliminer les gangs des autres écoles rivales histoire de faire assez de bruits pour se faire un nom et ainsi être connue à défaut d'être totalement craint dans tout Shinjukû. Devenant de plus en plus réputé, le nom du gang résonnait même dans les quartier d'Akihabara, Shibuya, même Ueno, inquiétant de plus en plus les gangs de rue qui venaient les affronter, ne voulant pas voir un groupe de fille devenir plus célèbre qu'eux. Les batailles entre gang de rue devenait de plus en plus fréquent et de plus en plus violent, si bien que sa réputation de Yankee ne lui permettait plus d'aller à l'école et fut donc virée pour ne pas détérioré la réputation de l'établissement. Même son foyer d'accueil ne pouvait se permettre de la garder, elle était bien trop violente et elle intimidait tous les autres pensionnaires car ici aussi elle était la dominante. Se retrouvant alors une nouvelle fois à la rue, elle passait presque tout son temps seule, car les filles de son gang étaient en cour, quelques unes séchaient les cours de temps en temps, mais que très rarement car les écoles étaient particulièrement strict, elle devait donc faire face aux dangers des rues de Shinjukû seule. C'est alors qu'elle prit la décision qu'elle retournerait au Mugenjô, car là bas se trouvait son ami le plus précieux Pluto, et elle n'avait qu'une envie le revoir même si cela signifie risquer sa vie encore plus qu'à l'extérieur.


QUI ETES VOUS ?


Surnom : Nana.
Age : 20 ans.
Découverte du forum : DC de Lady Poison.
Taux de présence : 10.
Manga & Perso de votre avatar : Kururu, Air Gear.
Code de validation : Validée
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Nana Abaraï l'ordinateur organique

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